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L’aventure de la grotte Cosquer

L’aventure de la grotte Cosquer

De la cavité engloutie à la réplique

Baptisée Cosquer Méditerranée, la réplique de la grotte Cosquer ouvre ce samedi 4 juin au cœur de Marseille. L’occasion de revenir sur l’histoire d’une grotte au destin extraordinaire, dont l’entrée se  situe à 37 mètres de profondeur dans les Calanques entre Marseille et Cassis, fréquentée et ornée entre -33 000 et -19 000 ans avant d’être partiellement engloutie à la fin de la dernière période glaciaire puis redécouverte à la fin du XXe siècle.

Par Pedro Lima, journaliste scientifique

1 : La grotte Cosquer s’ouvre à proximité du cap Morgiou, sous la pointe de la Voile. Toute plongée sans autorisation est interdite par arrêté préfectoral dans un rayon de 500 mètres autour du site. (crédit : Pedro Lima).
2 : Au bord du grand Puits, dans la deuxième salle de la grotte, des empreintes de mains négatives ont été réalisées sur des draperies minérales. (crédit : Michel Olive/Ministère de la Culture/DRAC Paca).

C’est dans la nuit du 9 juillet 1991 que la grotte Cosquer est entrée de plain-pied dans l’histoire. Ce soir-là, un bateau au nom prédestiné de Cro-Magnon quitte le port de Cassis et se dirige vers le cap Morgiou (9e arrondissement de la Ville de Marseille), au cœur du massif des Calanques. À son bord se trouvent le plongeur et scaphandrier Henri Cosquer, directeur du Centre cassidain de plongée, et trois moniteurs expérimentés de son club : Cendrine Cosquer (sa nièce), Pascale Oriol et Yann Gogan. Parvenus à 37 mètres de profondeur, au pied de l’imposante falaise qui plonge dans la Méditerranée, les quatre plongeurs se glissent dans un boyau qui débute après une étroite ouverture dans la roche, connue de longue date des chasseurs de corail. Dans le groupe, Henri Cosquer est le seul à déjà connaître ce conduit, pour l’avoir selon ses dires exploré à plusieurs reprises depuis 1985 (1). Et pour y avoir déroulé, fin juin 1991, un fil d’Ariane en compagnie du plongeur spéléo belge Marc Van Espen, visitant avec ce dernier la cavité qui s’ouvre au bout du boyau (2). C’est donc en suivant ce fil que la palanquée du 9 juillet remonte sur 116 mètres, en palmant précautionneusement pour ne pas soulever de sédiments, et débouche après une chatière dans une vaste salle en partie émergée. Un spectacle irréel et envoûtant s’offre alors aux plongeurs : dans la lueur des lampes, des colonnes pétrifiées se dressent dans une immense salle aux volumes tourmentés. Il s’agit de stalagmites colossales formées dans une cavité souterraine, autrefois située au dessus du niveau de la mer, avant que les eaux ne l’engloutissent à la fin de la période glaciaire. Après avoir sorti la tête de l’eau et posé le pied sur une plage en calcaire durci, les quatre plongeurs se débarrassent de leurs palmes et bouteilles. Formant deux équipes, ils explorent, deux heures durant, une grotte à la beauté fascinante. À perte de vue, ce ne sont que stalactites, stalagmites, concrétions, draperies, voûtes et parois de calcaire aux teintes blanches, brunes et orangées. Quand tout à coup, sur le chemin du retour vers la plage, c’est le choc : sur la paroi aux reliefs tortueux, l’empreinte d’une main négative apparaît dans le faisceau d’une lampe !
Après plusieurs visites durant le mois de juillet 1991, et la découverte de nombreuses autres empreintes de mains accompagnées de figures animales dessinées et gravées, (chevaux, cerfs, pingouins…), il ne fait plus guère de doute que la grotte qui repose dans le massif des Calanques a été ornée par des humains durant la préhistoire.

L’authentification de la grotte Cosquer

3 : Jean Courtin devant le panneau des Chevaux, lors de la mission scientifique de 1992. Les chevaux sont majoritaires dans la grotte, et les figures sont principalement gravées. (crédit : Jacques Collina-Girard).

Le 1er septembre 1991, un événement tragique se produit. Trois plongeurs inexpérimentés, emmenés par leur moniteur, perdent la vie en explorant le boyau, sans même savoir qu’une grotte se trouve au bout. Henri Cosquer et Yann Gogan participent aux opérations de sauvetage conduites par les secouristes spéléo. Et le 3 septembre, Henri Cosquer se rend à la Direction des recherches archéologiques sous-marines, à Marseille, pour déclarer la découverte de la grotte qui portera plus tard son nom. Dès le 18 septembre, une mission d’expertise est menée dans le site, avec l’appui logistique de l’Archéonaute, navire scientifique de la DRASM (devenue depuis le DRASSM).
C’est au préhistorien Jean Courtin, plongeur expérimenté qui a exploré depuis les années 1960 de nombreuses cavités sous-marines d’intérêt archéologique, que revient le redoutable honneur de se rendre dans la grotte pour l’authentifier, son collègue Jean Clottes participant à distance à cette mission.
Courtin se souvient avec émotion de ce moment unique : « Après avoir remonté lentement le boyau et émergé dans cette incroyable cathédrale souterraine et sous-marine, j’ai posé mon matériel et commencé à explorer la grotte en compagnie d’Henri Cosquer. Les parois étaient recouvertes de gravures et de dessins en grand nombre et raclées sur de grandes surfaces, témoignant d’actions très nombreuses menées sous terre. Plusieurs figures étaient recouvertes de calcite, ce qui prouvait leur ancienneté. De plus, les sols présentaient de nombreux foyers, dont certains étaient visibles sous la surface de l’eau, et j’ai aussi repéré d’emblée la présence d’outils taillés, dont certains avaient peut-être servi à graver certaines figures.

4 : Les pingouins, au nombre de quatre sur les parois, ont beaucoup fait pour la renommée de la grotte Cosquer. (crédit : Luc Vanrell / DRAC Paca / Immadras)

J’étais émerveillé et ému aux larmes, car il n’existait alors pas de grotte ornée en Provence. La grotte Cosquer venait confirmer toutes nos intuitions sur l’existence d’un riche patrimoine paléolithique englouti par la remontée du niveau marin suite à la dernière glaciation. Je n’ai eu d’emblée aucun doute sur l’authenticité du site, malgré les polémiques stériles qui s’en sont suivies ». Ces premières observations seront en effet confirmées, quelques semaines plus tard, par les datations au carbone 14 de charbons prélevés sur les sols par Jean Courtin, qui livrent des dates proches de 20 000 ans.

Depuis, de nouvelles analyses radiocarbone ont montré que la grotte a été fréquentée durant 14 000 ans au moins, entre -33 000 et -19 000 ans (cal-BP), par des chasseurs-cueilleurs de la dernière période glaciaire aux époques gravettienne et épi-gravettienne, lorsque la Méditerranée se situait jusqu’à 135 mètres plus bas et le littoral 10 km plus loin que de nos jours. Lors de la première phase d’occupation, gravettienne entre -32 500 et -26 500 ans, on trouve essentiellement les mains négatives, des bisons et des chevaux. Et lors de la seconde, épigravettienne entre -25 000 et -19 000 ans, on trouve des bisons, des chevaux, des cerfs, des pingouins et des phoques.
Classée en 1992 au titre des monuments historiques, la cavité est d’emblée interdite au public, à la fois pour des raisons de sécurité et de conservation. En 2013, un arrêté de la préfecture maritime a renforcé la protection du site par une interdiction de toute plongée et mouillage dans un rayon de 500 mètres autour de la pointe de la Voile, sous laquelle s’ouvre le boyau d’accès. Et depuis 2015, l’entrée à -37 m est fermée par un portail en acier inoxydable.

30 ans de recherches dans la grotte engloutie

Depuis l’authentification de la cavité, plusieurs missions scientifiques se sont déroulé dans ce site fragile, placé sous une triple menace : la montée du niveau marin due au réchauffement climatique, qui se répercute dans la grotte particulièrement depuis 2010, corrode les parois ornées, la mer amène régulièrement des polluants (micro-plastiques, hydrocarbures, rejets urbains…) et des séismes épisodiques perturbent la cavité.
En 1992 et 1994, deux missions d’ampleurs se déroulent avec le support technique du DRASM. Les résultats obtenus par Jean Courtin et son équipe seront fondateurs de la connaissance artistique et géomorphologique de la grotte, montrant en particulier qu’une grande partie des zones accessibles ont été raclées et ornées, et que de la matière calcaire a été extraite de la grotte peut-être à des fins médicinales ou rituelles. Le géologue Jacques Collina-Girard a montré l’existence d’un pendage des voûtes de la cavité, de 30°, témoignant des perturbations importantes auxquelles a été soumise la cavité par le passé.

5 : Le panneau des petits Chevaux, partiellement ennoyé en fonction du niveau du plan d’eau, qui varie selon les saisons et la pression atmosphérique dans la cavité. Ce cheval a été dessiné au fusain de charbon de bois. (crédit Luc Vanrell / DRAC Paca / Immadras)

En 1994, la découverte de la grotte Chauvet, avec ses somptueux dessins plus anciens que ceux de Cosquer (-36 000 cal-BP) et son accès beaucoup plus facile pour les chercheurs, fait de l’ombre à la grotte des calanques, dont vont se détourner peu à peu l’intérêt médiatique et scientifique. Depuis le début des années 2000, une équipe missionnée par le service régional de l’archéologie de la DRAC PACA étudie et protège le site, après la première génération de chercheurs. Elle est essentiellement composée de Luc Vanrell (IMMADRAS, LAMPEA), qui intervient dans la cavité depuis 1994, et de l’archéologue de la DRAC Michel Olive.

En 2002 et 2003, Jean Clottes et Jean Courtin prennent part à deux opérations archéologiques programmées avec relevés d’art pariétal. À cette occasion, Jean Clottes plonge pour la première fois dans le sanctuaire, après avoir accompagné à distance de précédentes missions. Depuis les années 2010, le topographe Bertrand Chazaly (société Fugro), est missionné par la DRAC pour réaliser le relevé 3D (scanner et photogrammétrie) intégral de la cavité, d’une précision infra-millimétrique sur les zones ornées.

Cet enregistrement, initialement destiné à la recherche et la conservation et exploité pour la réplique (voir ci-dessous), fait suite à de premiers relevés, dont celui très novateur pour l’époque effectué en 1994 par EDF, sur commande de la Ville de Marseille et destiné, déjà à l’époque, à une réplique qui n’avait pas vu le jour. Depuis 2021, une nouvelle équipe se met en place, dirigée par le préhistorien Cyril Montoya. Chaque mission dans la grotte est minutieusement préparée. « Le matériel (ordinateurs, appareils photo, capteurs, scanners 3D…) est conditionné dans des conteneurs étanches spécialement conçus pour le boyau. Les déplacements dans la cavité se font avec grande précaution, sur un sol particulièrement accidenté et souvent sous l’eau, car il est interdit de s’appuyer, de toucher les parois au vu des traces archéologiques qui les recouvrent. De plus, nous devons sortir tout le matériel à la fin de chaque journée de travail de 5 heures dans la grotte. C’est très physique, exigeant, et on perd en moyenne 3 kg par mission ! », témoigne Luc Vanrell.

De la grotte à la réplique

6 : Réplique d’un panneau orné à l’atelier Arc et Os (Montignac). (crédit : Patrick Aventurier / Cosquer Méditerranée).

Avec plus de 500 entités graphiques et un bestiaire riche de douze espèces, parmi lesquelles des animaux marins rares ou uniques dans l’art pariétal, la grotte Cosquer compte parmi les principales cavités ornées connues. Mais elle devait être à l’origine plus riche encore artistiquement, puisque les deux-tiers de ses volumes environ ont été noyés et que les salles émergées sont presqu’entièrement recouvertes de traces humaines.

L’originale étant à jamais fermée au public, et menacée d’une disparition probable à long terme, il manquait à la grotte Cosquer un projet de réplique, à l’image de celles réalisées à Lascaux dès les années 1970, puis à Chauvet en 2015. Ce projet, initié par la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur en 2016, trouve son aboutissement avec l’ouverture le 4 juin 2022 à Marseille du site Cosquer Méditerranée (3), comprenant une réplique partielle de la cavité originale.

7 : La Villa Méditerranée à Marseille, qui abrite la réplique Cosquer Méditerranée depuis le 4 juin 2022. (crédit : Stefano Boeri / Région Provence-Alpes-Côte d’Azur).

Au terme d’un chantier de deux ans, des équipes appartenant à de nombreux corps de métiers (spécialistes de la 3D, artistes-plasticiens, sculpteurs, ingénieurs…) ont d’abord conçu, puis réalisé dans les sous-sols d’un bâtiment déjà existant (la Villa Méditerranée), une grotte factice comprenant un parcours de visite partageant avec le public les principales zones d’intérêt artistiques, géologiques et minéralogiques de la grotte Cosquer. Le relevé 3D de la grotte originale a joué un rôle important dans la réussite du projet de réplique, en particulier dans un contexte où les équipes en charge de la réplique n’ont pas eu accès à la grotte originale.

Remis par l’État à la Région Sud, il a permis à la société Perspective(s) de réaliser l’anamorphose de la grotte, permettant son implantation dans la Villa Méditerranée. Les données 3D ont également permis la reproduction de 20 panneaux ornés comprenant les principales figures, par les équipes Arc et Os à Montignac (Alain Dalis) et Déco Diffusion à Toulouse (Bernard Toffoletti et Gilles Tosello) déjà engagées dans le projet de réplique de la grotte Chauvet en Ardèche.

8 : La visite de la réplique se fait à bord de modules automatisés. (crédit : Patrick Aventurier / Cosquer Méditerranée).

Dans Cosquer Méditerranée, les visiteurs embarquent sur des modules de visite qui ne sont pas sans rappeler, dans une version high-tech, le petit convoi électrifié qui emmène depuis des décennies les visiteurs au fond de la grotte de Rouffignac, en Dordogne. Face aux parois ornées émergeant de bassins qui évoquent le plan d’eau de l’originale, les éléments de compréhension sont dispensés dans des casques audio. Le site comprend également une galerie d’animaux du pléistocène évoquant le bestiaire de la période glaciaire, et une sensibilisation aux questions du climat.

Puisse cet indispensable outil de partage alerter les Homo sapiens du XXIe siècle de l’urgence à changer nos impacts sur la planète et le climat… Même si le patrimoine artistique de la grotte Cosquer, situé à une hauteur comprise entre 0 et 2 mètres au dessus du plan d’eau, aura vraisemblablement disparu d’ici moins de deux siècles. Resteront alors, pour en conserver la mémoire, les enregistrements de tous types réalisés dans la cavité, et les précieux résultats des études scientifiques.

Pedro Lima est l’auteur de « La grotte Cosquer révélée »


Pedro Lima
Journaliste scientifique


Les liens présentés dans cette page sont choisis par Hominides.com

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La grotte Cosquer révélée
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La grotte Cosquer révélée
Pedro Lima
Cet ouvrage richement illustré retrace l’histoire de la grotte Cosquer, site préhistorique orné unique au monde immergé au large des Calanques de Marseille.
 La cavité a été fréquentée durant des millénaires par des chasseurs-cueilleurs de la période paléolithique, entre -33 000 et -19 000 ans. Ils y ont peint et gravé des centaines de signes et de figures animales (chevaux, bisons, bouquetins…) dont des animaux marins uniques dans tout l’art pariétal (phoques et pingouins). 
Partiellement engloutie il y a 9 000 ans après la dernière glaciation, la grotte a été redécouverte à la fin du siècle dernier et déclarée officiellement en 1991, avant d’être étudiée par les scientifiques. 
Ce livre partage toute la beauté, l’émotion et les connaissances acquises sur ce site extraordinaire, aujourd’hui menacé par la montée du niveau des mers liée au réchauffement climatique. Il révèle aussi les secrets de sa réplique, ouverte au public en 2022 à Marseille. 
L’ouvrage contient des témoignages de plongeurs et scientifiques qui ont visité le site, et se prolonge avec une visite virtuelle de la grotte sur smartphone et tablette. 
En savoir plus sur La grotte Cosquer révélée
Cosquer redécouvert – Un livre de Jean Clottes, Jean Courtin, Luc Vanrell
Cosquer la grotte inattendue – Un livre de Romain Pigeaud
La grotte Cosquer révélée
La grotte Cosquer révélée – Un livre de Pedro Lima
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