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Les hominoïdes, des premiers primates au dernier ancêtre commun


En 1871, le concept d’hominoïdes apparait. En effet  Charles Darwin expliquait « Il est donc probable que l’Afrique était autrefois habitée par des singes aujourd’hui disparus, étroitement apparentés au gorille et au chimpanzé; comme ces deux espèces sont maintenant les plus proches de l’homme, nos lointains ancêtres ont sans doute vécu sur le continent africain plutôt qu’en un autre lieu.»
On peut parler d’intuition ou même de prémonition car à cette époque aucun fossile de singe n’avait été trouvé en Afrique !

Les hominoïdes ?
De manière populaire on pourrait parler simplement de "singes sans queue". Plus scientifiquement, les hominoïdes forment une super famille dans l'ordre des primates, dépourvus d'appendice caudal.

Les différentes classifications possibles

Tous les scientifiques ne classent pas les hominoïdes et les primates de la même façon. L’enjeu peut paraître ridicule mais ce n’est rien de moins que la place de l’homme (Homo sapiens) qui est en jeu… Plus ou moins près des autres primates, plus ou moins près des autres animaux !

Classification officielle américaine

Les scientifiques américains isolent Homo sapiens et le traitent à part, lui attribuant une place particulière dans le règne animal. Peut-être cherchent-ils à ne pas heurter les puissants mouvements créationnistes qui sévissent aux Etats-Unis (voir Intelligent Design).

Classification officielle américaine

Primates
Hominoïdes
Hominidés
Homininés
Homo sapiens Australopithèques Paninés Gorillinés Hylobatoïdés Hylobatoïdés Autres primates

Classification la plus courante en France

Cette classification est présentée dans l’ouvrage de référence « Classification phylogénétique du vivant » de Hervé le Guyader et Guillaume Lecointre (voir ouvrage en bas de page). A noter, c’est cette classification qui est choisie par Hominidés.com.

Classification la plus courante en France

Hominoïdes Autres primates
Hominidés Pongidés Hylobatoïdés
Gorillinés Pongidés
Homo sapiens Australopithèques Paninés

Programme officiel SVT français

Une seule différence avec la classification de Guyader et Lecointre : les chimpanzés (Paninés) ne sont pas regroupés avec Homo sapiens et ses ancêtres (australopithèques)…

Programme officiel SVT français

Primates
Hominoïdes Autres primates
Hominidés Pongidés Hylobatoïdés
Homininés Gorillinés
Homo sapiens Australopithèques Paninés

Les premiers primates avant les hominoïdes

Vous trouverez sur cette page la chronologie des hominoïdes et de leurs ancêtres depuis l’éocène. Une histoire à rebondissements ou les lignées apparaissent et disparaissent prouvant, une fois de plus, que l’histoire de l’homme et des autres grands singes n’est pas un long fleuve tranquille !

La terre il y a 65 millions d'années

60 millions d’années : les premiers primates

C’est pendant l’Eocène que les grands groupes de mammifères se développent. Ils profitent, entre autre, de la disparition des dinosaures pour supplanter les autres groupes mais aussi d’un climat très chaud.
Les premiers primates apparaissent. On les retrouvent dans plusieurs parties du monde : en Europe, en Amérique du Nord en Asie et en Afrique. Parmi ces protosinges d’Afrique ont peut distinguer Altiatlasius, découvert au Maroc, qui fait figure de plus ancien primate reconnu (55 millions d’années).
A droite la terre il y a 65 millions d’années : les continents sont en cours d’écartement.

Darwinius masillae



En mai 2009, naissance d’une nouvelle espèce à partir d’un fossile découvert en Allemagne. Présentant à la fois des caractéristiques des lémuriens et des primates, Darwinius masillae fait une entrée (un peu trop ?) bruyante dans le milieu de la paléoanthropologie. Il est daté de – 47 millions d’années. Le fossile a été surnommée Ida.

Darwinius masillae, un primate de 47 millions d’années, dont la position dans l’évolution est contestée

En savoir plus sur la découverte d’Ida, un prétendant au titre de chaînon manquant.


40 millions d’années : la grande coupure

Aegyptopithecus zeuxis
Crânes d’Aegyptopithecus zeuxis. La femelle est à gauche et le mâle à droite. Simons et al. 2007. Copyright (2007) National Academy of Sciences.

Il y a 40 millions d’années, de profondes modifications climatiques vont à nouveau bouleverser la faune et la flore du monde. Les grandes régions climatiques se rapprochent de ce que l’on connaît actuellement. L’hémisphère nord va se refroidir ce qui provoquera la disparition des primates qui y étaient installés. Seuls vont survivre les primates provenant des régions tropicales du globe.
35 millions d’années, nous sommes à l’oligocène et les premiers singes modernes vont apparaître. Tout d’abord arboricoles, ils vont se développer sur toutes les niches écologiques, investissant également le sol.
Nous connaissons plusieurs représentants des espèces vivant à cette époque : les singes de la région du Fayoum en Egypte et ceux de Taqah (Sultanat d’Oman).

Si Oligopithecus  est le plus ancien (-35 millions d’années) des singes retrouvés au Fayoum, aegyptopithecus est le plus étudié et donc l’un des plus connus ! Tous ces singes ont la particularité d’avoir une boîte crânienne plus volumineuse (par rapport aux Haplorrhiniens) et des orbites orientées vers l’avant.
A noter également, la découverte fin 2005, de deux nouvelles espèces Biretia fayumensis et Biretia megalopsis dont on estime l’âge à 37 millions d’années.

Saadanius hijazensisn


30 millions d’années

Peu de fossiles entre 30 et 20 millions d’années. Nous savons peu de choses sur l’évolution des primates pendant cette période. En juillet 2010, la revue Nature publie une étude sur une nouvelle espèce découverte en Arabie Saoudite : Saadanius hijazensisn. Ce primate appartenant au groupe des catarrhiniens comble un peu le manque de fossiles sur la période !

A droite, Saadanius hijazensisn les ossements de cet hominoïde ont été trouvé en Arabie Saoudite et sont datés de – 29 millions d’années.

Les Hominoïdes

20 millions d’années

C’est le début du Miocène (22 à 5,5 millions d’années), on commence à retrouver des fossiles de primates. On peut les séparer en deux lignées bien spécifiques :

– les cercopithécoïdés qui forment un petit groupe (ancêtres des babouins et des macaques). Les cercopithécoïdes ou « singe à queue » sont à cette époque, et comparativement au groupe des hominoïdes, un groupe de peu d’importance uniquement représenté par deux espèces dont le Victoriapithèque (voir image en dessous).
– les hominoïdes (qui correspondent à notre lignée de grands singes) qui comprend un grand nombre d’espèces particulièrement présent dans les forêts d’Afrique. Les Hominoïdes du plus petit (quelques kilogrammes) au plus grand (50 kilogrammes) vont investir toutes les niches écologiques du milieu forestier. Il vont également se développer sur tout l’Ancien Monde : on trouve des fossiles aussi bien en France, en Chine ou au Kenya… On a ainsi dénombré 40 espèces de grands singes datant du Miocène.
Les modes de locomotion sont multiples, de la quadrupédie au sol au déplacement arboricole par brachiation (de branche en branche)…
Parmi les hominoïdes de cette période on peut citer Proconsul ou Morotopithécus.

Victoriapithecus – Crâne mâle KNM-MB-29100 comparée au crâne femelle en haut.
Proconsul nyanzae
Squelette Proconsul nyanzae – Galerie de Paléontologie – MNHN Paris / Photo Kroko pour Hominides.com

16 millions d’années : l’expansion

Giganpithecus
Giganpithecus – Reconstitution Kaek 2016 -https://www.deviantart.com/kaek/art/Gigantopithecus-blacki-600210095

L’aire des grands singes s’agrandit en dehors de l’Afrique vers l’actuelle Asie et l’Europe. Il faut noter qu’à cette époque des « passages terrestres » étaient possibles. Plusieurs lignées vont se déployer sur ces continents pendant une dizaine de millions d’années.

La lignée asiatique

Entre 16 et 1 millions d’années les hominoïdes d’Asie (les pongidés) vont se propager et s’étendre sur le continent. Plus particulièrement le groupe des sivapithèques va coloniser l’Inde, le Pakistan et la Chine.
Parmi eux, le gigantopithécus est la plus grande espèce de primate connue. Seulement connu par sa mandibule et quelques dents, sa taille est estimée à plus de 2.5 mètres ! Sa reconstitution (ci-contre à droite) est donc véritablement une « vue d’artiste » !
Cette lignée qui a disparu entre 1 million et 500 000 années est probablement à l’origine des orangs-outans de Sumatra et de Bornéo. Les ossements gigantesques de cet animal fossile pourrait être à l’origine de la légende du Yéti !

La lignée eurasiatique

En Turquie, Grèce et Hongrie une autre lignée va s’installer (peut-être des descendants d’Afropithecus). On connaît peu de choses sur eux : ce sont surtout des fossiles de crânes qui nous sont parvenus. Ils ont la particularité de présenter à la fois des caractères physiques communs avec la lignée asiatique et avec les hominidés africains.
Cette lignée dans laquelle on distingue ankarapithéque, ouranopithèque, graecopithèque n’a plus laissé de traces après 8 millions d’années.

Ouranopithecus
Ouranopithecus -Moulage exposé au Musée d’Histoire naturelle de Paris.
Ankarapithecus
Ankarapithecus reconstruction de la face et de la manidibule
Afropithecus
Afropithecus – Moulage exposé au Musée d’Histoire naturelle de Paris.

La lignée européenne

En Europe, deux groupes de singes hominoïdes se déploient : les Dryopithèques et les Pliopithèques. Il ont en commun un déplacement par brachiation, et certains d’entre eux peuvent également se déplacer sur leurs pieds.
Parmi ces groupes, on peut distinguer l’oéropithèque dont les restes fossiles ont été retrouvés en Italie ainsi que Pierolapithecus catalaunicus découvert en 2004.
Cette lignée va aussi s’éteindre vers 8 millions d’années, non sans que certaines espèces se soient auparavant déplacées vers l’Asie.

La lignée africaine

C’est bizarrement les hominoïdes d’Afrique qui ont laissé le moins de traces fossiles entre 14 et 4 millions d’années. C’est pourtant de ce continent originel que les autres lignées sont parties…
Les seuls fossiles disponibles sur cette période sont ceux du Kenyapithèque, apparu vers 14 millions d’années et du Samburupithèque daté de 9 millions d’années. A noter, en août 2007 découverte de dents fossilisées d’un ancêtre du gorille : Chororapithecus abyssinicus.

Pierolapithecus
Pierolapithecus catalaunicus vivait il y a 13 millions d’années dans la péninsule ibérique
Chororapithecus
Chororapithecus abyssinicus – Ce proto-gorille est daté de 10 millions d’années.

8 millions d’années : le déclin

La modification du climat global sur la planète (avec les périodes de glaciations) va entraîner un retrait des grandes forêts au nord de l’équateur. De grands groupes de singes hominoïdes vont donc disparaître avec leur habitat. Les cercopithécoïdes vont, eux, devenir le groupe le plus diversifié sur la planète. Il sont avantagés par leur plus petite taille et leur faculté à digérer des aliments de moins bonne qualité nutritive.
A ce moment, un observateur extérieur aurait réellement cru que les cercopithécoïdes allaient devenir l’espèce dominante sur Terre. Les Hominoïdes semblaient avoir perdu la partie…
De nos jours on peut encore voir que les hominidés ne sont représentés que par 5 espèces dans le monde entier alors que l’on dénombre 80 espèces de cercopithécoïdes !

Des hominoïdes aux hominidés ?

Depuis 14 millions d’années les fossiles retrouvés d’hominoïdes (et d’hominidés) sont rares. Chaque découverte est un vrai événement, surtout quand le fossile est daté dans la période de 9 à 6 millions d’années. Les différentes études évaluent en effet la séparation de la lignée humaine des autres branches de grands singes entre 6 et 8 millions d’années…
Attention aux excès de langage… nous ne parlons pas de « chaînon manquant » entre les autres grands singes et nous, ce qui est une ineptie (voir le dossier consacré à cette quête éperdue du chaînon manquant).

Le dernier ancêtre commun ou DAC

Les anthropologues cherchent en fait tout simplement de dernier ancêtre commun aux deux lignées. Cet hominidé doit être à la fois l’ancêtre des chimpanzés, des gorilles et des orangs-outans mais également celui de l’homme actuel.
Plusieurs fossiles sont situés dans cette période charnière et sont donc très proches du DAC :
– Sahelanthropus tchadensis, surnommé Toumaï
– Orrorin tugenensis
– Ardipithecus ramidus
Certains voudraient voir parmi ces fossiles le fameux DAC… Il n’est actuellement pas possible de décerner ce titre à l’un des prétendants…
« On ne pourra pas avancer sur les plus anciens représentants de la lignée humaine tant qu’on n’aura pas des fossiles datés de 10 à 5 millions d’années, soit avant et après le dernier ancêtre commun » souligne Pascal Picq (Le Monde 29/08/06).
A noter : si la majorité des scientifiques imaginent que cet hominidé vivait en Afrique (la théorie « Out of Africa »), certaines voix s’élèvent pour proposer une autre source située en Asie.

Fosilles d'Orrorin tugenensis
Fossiles d’Orrorin tugenensis / Image B. Senut et M. Pickford
Sahelanthropus tchadensis crane
Crâne Sahelanthropus tchadensis – MEH de Burgos / Photo Neekoo pour Hominides.com

Avant le DAC

Pour visualiser les différentes espèces d’hominoïdes avant la lignée Homo, et les grandes séparations des nombreuses espèces de primates…
Hominoïdes et primates – Arbre généalogique

Après le DAC

Pour continuer cette histoire d’hominidés et d’hominoïdes vous pouvez continuer votre voyage dans le temps et retrouver les ancêtres de notre lignée depuis 7 millions d’années. Hommes préhistoriques – Arbre généalogique

Les hominidés
Arbre des hominidés, grands singes, primates… Pour la Science Octobre 2003
Arbre généalogique des hominidés
Arbre généalogique des hominidés
Grands singes / homme quelles origines ? – Brigitte Senut
Le singe en nous – Frans de Waal
Qui sont nos ancêtres ? Anna Alter avec Brigitte Senut Illustré par Caroline Hue
Chimpanzés, mes frères de la forêt – Sabrina Krief
Premiers Hommes
Premiers hommes – Pascal Picq
Et le singe se mit debout
Brigitte Senut avec Michel Devillers
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En avant pour les vacances d'hiver

Arts et préhistoire - Une exposition au Musée de l'Homme à Paris du 16 novembre 2022 au 22 mai 2023.

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