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Les évolutions de l'Homme, de Toumaï à Homo sapiens

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Premiers hommes

Laissez-nous vous conter la plus formidable des aventures : l’origine de l’humanité

Pascal Picq

Les premiers hommes : une belle histoire sur des millions d’années… du plus vieux singe connu… à Homo sapiens !

Premiers Hommes
Premiers Hommes – Pascal Picq
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Présentation par l’éditeur :
Tant de découvertes ces dernières années ont achevé de nous perdre dans le labyrinthe des premiers hommes et la diversité de nos ancêtres. Pour suivre cette longue évolution, d’abord simienne et partagée, puis tout à fait humaine et unique, Pascal Picq raconte dans un récit complètement inédit nos origines communes avec les singes. Cela se passe au cœur de l’ère tertiaire, durant le long Miocène (de 23 à 5,5 millions d’années), l’âge d’or des hominoïdes. Et cela, plusieurs millions d’années avant l’émergence de notre lignée africaine ! Au fil du récit, on comprend que nos origines, même très lointaines, sont beaucoup plus humaines qu’on ne l’imaginait : ainsi, l’invention des premiers outils de pierre taillée au temps de Lucy et des australopithèques, l’organisation des groupes en société pour se défendre, se nourrir et se reproduire. Des hominidés qui marchent, utilisent des outils, échangent et chassent depuis des temps immémoriaux… L’émergence d Homo erectus vers 1,9 million d’années marque un nouveau tournant dans l’histoire de la vie : ses innovations techniques et culturelles, comme le feu et la cuisson, vont interagir avec son évolution biologique, modifiant son corps, son cerveau et la société au travers de médiations symboliques, comme le langage. Une étape décisive qui témoigne de la puissance biologique, cognitive et écologique du genre Homo, le premier grand singe qui a dominé l’ancien monde, et à la découverte duquel nous convie aussi cet ouvrage…

Editions errance
352 pages
24,1 x 2,4 x 15,4 cm
Editions  Flammarion
Collection : Histoire

Hominidés.com

Pascal Picq reprend notre histoire depuis le début. Mais ce début n’est pas forcement là ou vous le pensiez ! Le paléoanthropologue remonte plusieurs millions d’années en arrière quand les premiers singes émergeaient. Ces hominoïdes se sont développés en s’adaptant à différents environnements et à plusieurs niches écologiques. C’est ici que l’on est obligé de reconnaitre que la majorité de notre histoire s’est déroulée en majeure partie dans les arbres et beaucoup moins sur la terre ferme !
Après ces premiers primates il y a « seulement » quelques millions d’années de nouvelles lignées apparaissent comme les australopithèques. Puis notre genre voit le jour il y a un peu moins de 2 millions d’années : Homo est né !
Un grand nombre d’espèces se croisent ou se succèdent sur notre bonne vieille planète : erectus, neanderthalensis, heidelbergensis, habilis… Et c’est seulement il y a 200 000 ans que l’on peut rencontrer en Afrique (du sud ? de l’est ?) un Homo sapiens presque comme vous et moi.
Même si les textes de Pascal Picq sont toujours fluides et agréables à lire il faut reconnaitre que les noms d’espèces, de familles et de genres sont très (trop ?) nombreux dans l’ouvrage. C’est bien sûr cette exhaustivité qui donne l’intérêt d’un livre comme celui-ci, mais cette accumulation peut en rebuter quelques-uns. L’austérité de l’ouvrage est renforcée par la présence de seulement cinq petits « schémas », et d’aucun dessin ou reconstitution.

Devant cet énorme pavé il convient de ne pas se décourager et de continuer la lecture. C’est passionnant et ne vous inquiétez pas, personne ne vous interrogera sur les noms des espèces de singes…!

CR

L’auteur, Pascal Picq

Pascal Picq est paléoanthropologue au Collège de France. Avec une thèse à l’Université Paris IV et des études postdoctorales à l’Université Duke (États-Unis), il a introduit l’éthologie dans le champ de l’anthropologie évolutionniste et travaille sur l’évolution en cours de l’humanité. Il est l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels Lucy et l’obscurantisme, Un paléoanthropologue dans l’entreprise ou de Darwin à Lévi-Strauss.

Sommaire de « Premiers Hommes »

Sommaire de « Histoires d’ancêtres « 

La diversité du Monde vivant

Du côté des origines

I Repartir du commencement

II Honni soit le singe

III Le singe qui est en nous

IV Au royaume des canopées

V La vraie planète des singes

VI L’âge d’or des hominoïdes

VII Pierola en Catalogne

VIII La disparition en Europe

IX Du chaînon manquant au dernier ancêtre commun

X De quel côté du Rift ?

XI portraits de nos premiers ancêtres

XII Une journée chez les premiers hominidés

XIII De l’enfant de Taung à Lucy

XIV Lucy in the sky with Little Foot !

XV On cherche un homme

XVI Les aventures extraordinaires d’Homo erectus

XVII Premières sociétés humaines

Et après ?

Un extrait du livre « Premiers Hommes »

Nous sommes à la fin du Miocène supérieur. Toumaï (Sahelanthropus) trouvé au Tchad est âgé de 7 millions d’années, Orrorin au Kenya date de 6 millions d’années, Ardipithecus, enfin, qui a été découvert en Éthiopie, est estimé entre 5,5 et 4,5 millions d’années.

À quoi ressemblent-ils ? Faisons les présentations …

De Toumaï, nous ne connaissons que son crâne assorti de quelques mandibules. C’est un hominidé dont la taille corporelle avoisine une quarantaine de kilos, comme chez les chimpanzés actuels. La boite crânienne abrite un cerveau de taille modeste de 300 centimètres cube dont l’organisation de ses grandes parties reste archaïque. La face est robuste surtout au niveau de la jonction entre le dessus des orbites et l’os frontal, très incliné, qui forme une barre impressionnante (torus sus-orbitaire). C’est une face courte et haute, caractéristique des hominidés. Les incisives sont développées tandis que la canine dépasse à peine des dents voisines la pointe. Les molaires sont assez grandes, larges, avec une couronne aux reliefs arrondis couverts d’un émail assez épais. Tous ces caractères s’accordent avec ce qu’on attend d’un premier représentant de la lignée humaine. La base du crâne se présente courte, large et fléchie avec un trou occipital en position avancée – le foramen magnum, d’où sort la moelle épinière à la base du cerveau pour descendre dans la colonne vertébrale -, une anatomie liée à la bipédie et à la marche debout que l’on retrouve chez tous les homininés plus récents (australopithèques et hommes). En l’absence d’éléments fossiles du squelette locomoteur, on ne sait pas pour l’heure comment marchait Toumaï.

Présenté comme le « fossile du millénaire » en l’an 2000, Orrorin a été découvert dans les collines de Tungen au Kenya. Il conserve des caractères archaïques de grands singes robustes sur sa mandibule et ses dents, dont une canine puissante. En revanche, son fémur, robuste, possède un col et une tête développée, ce qui témoigne d’une bipédie plutôt évoluée et fréquente. Les os du bras montrent des aptitudes à la suspension dans les arbres au niveau de l’articulation du coude et par la longueur et l’incurvation des phalanges. Cet hominidé est de plus grande taille que Toumaï, pèse une soixantaine de kilos, a la face plus archaique et robuste, est capable de bien marcher debout mais est encore à l’aise dans les arbres.

En 1994, Ardipithecus ramidus est annoncé avec une canine enchâssée dans un fragment de mandibule. Ses inventeurs, qui le présentent d’abord comme un australopithèque, consentent plus tard à en faire un genre distinct. Depuis, les découvertes se sont multipliées. À cet égard, Ardipithecus représente le fossile le plus complet de la fin du Miocène avec deux espèces : Ardipithecus ramidus daté de 4 à 5 millions d’années et Ardipithecus kadabba un peu plus âgé. Sans trop entrer dans les détails, ce que l’on sait de sa boîte crânienne indique un cerveau de taille modeste. Sa face et ses dents ressemblent plus à celle d’un ancêtre des chimpanzés que d’un homininé. La base du crâne est vraiment courte et fléchie, en accord avec la marche bipède, mais avec des détails anatomiques autour du trou occipital semblables à ceux des chimpanzés. Son squelette locomoteur s’accorde avec un tronc et des bras associés à la suspension et à la brachiation tandis que les parties connues du bassin et des jambes indiquent de bonnes aptitudes à la marche bipède.

Quel tableau général se dégage-t-il de ces fossile de la fin du Miocène ? Tous affichent des répertoires locomoteurs éclectiques avec, au-dessus du bassin, un tronc et des membres supérieurs adaptés à la suspension et à la brachiation dans les arbres. Par ailleurs, la base du crâne, le bassin et les éléments connus des membres inférieurs s’accordent avec l’exercice d’une bipédie bien affirmée. Quant au crâne, à la face, à la mandibule et aux dents de ces hominidés gravitant autour du dernier ancêtre commun, leurs différences anatomiques indiquent la présence d’un fossile au plus près de la lignée des homininés – Toumaï -, d’un autre à proximité de celle des patiné – Ardipithecus – le moins identifiable d’entre tous étant Orrorin….

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