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Les signes géométriques, une introduction

Les signes géométriques, une introduction

Genevieve von Petzinger

Département d’anthropologie, Université de Victoria (Canada)

Le paléolithique supérieur en Europe (de- 40.000 à – 10.000 ans) est une période passionnante de notre histoire. C’est alors que nous rencontrons quelques uns des exemples les plus anciens d’ êtres humains se comportant tout comme nous : ils enterraient leurs morts, ils faisaient de la musique, ils taillaient des outils perfectionnés, des bijoux et des figurines dans un grand nombre de matériaux et ils décoraient les grottes et les abris sous roches qu’ils fréquentaient par un riche et impressionnant ensemble de peintures et de gravures. Des trois principales catégories dans lesquelles on divise l’art pariétal ( animaux, êtres humains, signes géométriques ), ce sont les signes qu’ André Leroi-Gourhan (1982) considérait comme « le domaine le plus fascinant de l’art paléolithique ». Cependant, alors que lui-même les incluait dans ses recherches, on a, en général, eu tendance à négliger ces marques abstraites en faveur de leurs équivalents figuratifs.

Ce n’est pas que les chercheurs dans ce domaine ne soient pas intrigués par ces marques. En fait en commençant par Lartet et Christy vers 1860, bon nombre de chercheurs au cours de ces cent cinquante dernières années ont remarqué ces signes géométriques et se sont interrogés sur leur fonction ( pour une bonne vue d’ensemble de l’histoire de l’étude des signes géométriques, consulter Sauvet (1993)), mais, comme l’a souligné Paolo Graziosi (1960), l’un des plus importants obstacles à l’étude de ce genre d’images est que « leur signification est obscure » et que « elles flottent souvent dans une atmosphère de purs symbolisme ou abstraction ». Et c’est bien là qu’est le problème. A la différence des autres sortes d’imageries pariétales dans lesquelles il est au moins possible d’identifier la nature du sujet (un bison, un cheval, un être humain, etc. par exemple), avec les signes géométriques il est difficile de savoir par où commencer. Il est malaisé de reconnaûtre dans ces marques non-figuratives des objets appartenant à l’univers du quotidien, ce qui signifie qu’on doit les étudier d’une manière légèrement différente de celle des images d’animaux et d’êtres humains. Aussi, comment diable nous, modernes chercheurs, pouvons-nous tenter de comprendre pourquoi ces anciennes populations décidèrent de créer ces signes alors que ceux qui les ont faits sont morts depuis des milliers d’années ? Tel est le défi qui se présentait à moi lorsque je décidai d’étudier ce type particulier d’art pariétal voici plusieurs années.

Signes géométriques Niaux
Signes géométriques dans la grotte de Niaux – Photo Jean Clottes

On trouve les signes géométriques dans presque tous les sites d’art pariétal d’Europe occidentale, mais la/les signification(s) qu’elle/elles avai(en)t pour ceux qui les créèrent et les reproduisirent demeure(nt) insaisissable(s). Depuis ces cent dernières années, cette catégorie a constitué un dépotoir pour toute imagerie non identifiée appartenant à cette période ce qui a abouti à l’existence d’au moins deux types de motifs associés dans ce regroupement : des images stylisées mais ordinaires de la vie de tous les jours (outils, armes, habitation, par exemple) que nous ne reconnaissons pas forcément, tout simplement, et des formes véritablement abstraites qui pourraient fort bien être des représentations symboliques d’importants concepts/idées ou les traductions d’expériences transcendantes, chamaniques sous forme de manifestations entoptiques (pour une explication détaillée de la théorie chamanique, voir Lewis-Williams (2002)). Ces possibles interprétations n’excluent pas l’existence éventuelle, aussi, d’autres facteurs incitatifs, mais ce qu’il est important d’observer c’est que, selon toute vraisemblance, il n’existe pas de théorie unique susceptible d’expliquer l’objet de la totalité de ces signes. A droite : ensemble de signes géométriques. Niaux. France.

Main négative - Chauvet
Signes géométriques dans la grotte de Niaux – Photo Jean Clottes

Lorsque j’entamai la phase initiale de ma recherche, je fus surprise de découvrir qu’il n’y avait pas d’études à grande échelle centrées particulièrement sur les signes géométriques. Je voulais savoir combien il existait de formes distinctes et si les mêmes signes se répétaient à travers l’espace et le temps. La motivation qui me poussait à étudier ces questions en particulier venait, en partie, de ce que j’étais curieuse de savoir si ces signes apparaissaient comme ayant un objet ou s’ils n’avaient, simplement, qu’une fonction décorative ou encore s’ils n’étaient que le résultat de griffonnages faits au hasard. J’étais aussi curieuse de voir si ces signes se révélaient être une invention locale propre à l’Europe ou si certains d’entre eux auraient pu faire partie de cette « trousse à outils cognitive » que les modernes humains apportaient avec eux lorsqu’ils arrivèrent pour la première fois sur ce continent il y a plus de 40.000 ans.
A gauche, Main négative et points. Grotte du Pech-Merle Photo P. Cabrol

Pour commencer à m’attaquer à cette lacune dans nos connaissances, ma première recherche consista à compiler et à analyser une base de données relationnelles couvrant tous les signes géométriques connus en France datant du paléolithique supérieur, puis à chercher des représentations de continuité et de changements à travers le temps et l’espace. Dans ce but, je détaillai les implications de ces modèles chronologiques et régionaux relatifs à la fréquence des types de signes et examinai les implications desdits modèles afin de comprendre où, quand et pourquoi la conception de signes abstraits pût avoir un sens pour les créateurs de ces images. En dehors d’un certain nombre de difficultés rencontrées pour accumuler un nombre suffisant de données pour chaque site, la partie la plus ardue de ce projet fut de créer une typologie unifiée des types de signes géométriques français à partir de plusieurs versions régionales. Supposant qu’un bon nombre des signes les plus anciens étaient de caractère narratif ou pictographique, on leur donna des noms en conséquence utilisant une typologie fondée sur le latin (penniforme = lance ou flèche, tectiforme = hutte ou piège à animaux, claviforme = massue, par exemple) et, de surcroût, sur une interprétation magique de la chasse. Bahn (1997) a suggéré que , bien que ces termes interprétatifs ne soient plus pris littéralement, ils sont désormais si fixés dans les écrits qu’on les a conservés comme descriptions de certaines formes de types de signes. Me fondant là-dessus, j’inclus ces termes de catégories descriptifs dans ma typologie, puisque ce sont les désignations les plus admises, tout en utilisant aussi des descriptions géométriques (triangle, cercle, etc. par exemple) lorsque c’était possible. On trouvera ci-dessous la typologie courante pour tous les signes géométriques connus trouvés en France datant du paléolithique supérieur.

Typologie Signes Préhistoriques
Typologie des signes du paléolithique supérieur en France – Genevieve von Petzinger

Même à ce stade, j’envisageais déjà de comparer les signes à l’échelle continentale afin de rechercher des modèles inter-régionaux, mais il me fallait auparavant voir s’il y avait un quelconque avantage à aborder l’imagerie non-figurative de cette façon. La France, sur laquelle me concentrer, me paraissait un bon endroit pour commencer et me donner une occasion d’éprouver cette méthode particulière. Les résultats que j’obtins de cette étude furent très prometteurs. Des signes géométriques étaient présents dans 147 sur un total de plus de 170 sites en France. Les sites dans lesquels il n’y a pas de signes sont, en général, ceux qui n’offrent qu’une faible quantité de représentations comprenant un petit nombre de figures d’animaux (comme par exemple la grotte de la Glèze en France) et ne bénéficient que d’un piètre état de conservation, ce qui laisse à penser que certaines des figures puissent ne plus être visibles et qu’ainsi il y ait toujours une possibilité qu’il y eût des signes à l’origine mais qu’on ne puisse tout simplement plus les identifier. Les signes géométriques utilisés en France au cours de l’Age de glace révèlent l’existence de modèles spatiaux et temporels entre les sites et que 70% de ces types de signes demeurèrent en usage tout au long de cette période. D’intéressantes questions concernant les origines géographiques et temporelles de ces marques découlent de ce qui précède : certains de ces signes semblent avoir été très largement répartis, même il y a plus de 35.000 ans, (angles ouverts, cercles, par exemple) tandis que d’autres n’apparaissent que bien plus tard et peuvent manifestement être considérés comme des exemples d’inventions locales (tectiformes, par exemple).

Techtiforme Gravé Bernifal
Techtiformes Gravés Grotte de Bernifal – Les Eyzies-de-Tayac Photo G. Delluc
Techtiformes
Techtiformes Peints Grotte de Font-de-Gaume – Les Eyzies de Tayac – Photo Delluc

La façon dont j’abordai la signification dans mon travail fut de la considérer de manière indirecte. Etant donné qu’une interprétation directe de ces signes est impossible, je compris qu’il me faudrait observer la façon dont les signes étaient utilisés si je voulais comprendre l’aptitude de ces populations à produire et à manipuler des symboles. La répétition des mêmes signes pendant si longtemps, ainsi que les choix qu’il opéraient concernant ce qu’ils allaient représenter dans chaque site tendent à prouver un caractère intentionnel. Cette continuité laisse à penser que ces signes géométriques étaient utilisés à dessein et qu’ils avaient un sens pour ceux qui les créèrent. Aucun signe n’apparaût partout, donc ils prenaient manifestement des décisions sur ce qu’ils devaient représenter plutôt que quoi que ce soit qui fût une inclusion automatique. Avec un nombre si restreint de signes géométriques ayant été utilisés à travers le temps et l’espace, je n’ai pas besoin de comprendre exactement ce qu’ils signifiaient pour savoir qu’ils étaient d’une grande importance pour les populations de l’Europe de l’Age de glace.

Signe - Abri de Fongal
Signes indéterminés – Abri de Fongal – Musée de Préhistoire des Eyzies-de-Tayac- Photo Kroko pour Hominides.com

Ayant trouvé qu’il y avait effectivement des modèles évidents dans la façon dont les signes géométriques étaient utilisés dans les sites d’art pariétal en France durant tout le paléolithique supérieur, je me suis lancée maintenant dans une série de nouveaux projets qui développent cette recherche. Le point central est l’accroissement de la base de données pour inclure tous les autres sites d’art pariétal européens connus qui recèlent des marques géométriques. Je n’ai jamais considéré l’identification de modèles d’usage comme l’unique objet de ma recherche et, comme les signes sont ordonnés dans la base de données, ils peuvent être utilisés pour vérifier quelques hypothèses différentes. Parmi les questions auxquelles je tente à l’heure actuelle de répondre à l’aide des signes se trouvent les suivantes : Peut-on suivre à la trace le passage de populations et de culture/idées à travers les paysages d’Europe en suivant les déplacements de ces signes ? Trouvons-nous au moins certains des signes identiques dans toutes les régions et ceci nous permet-il de localiser avec précision les lieux d’origine de même que des signes qui peuvent avoir été inventés avant l’arrivée de l’homme en Europe ? Et, les premières analyses ayant montré que des associations de deux ou même d’un nombre plus important de signes se répètent dans de multiples sites, ces modèles persisteront-ils lorsqu’on les soumettra à l’épreuve de données plus importantes ?
A droite, signes indeterminé – Abri de Fongal – Musée de Préhistoire des Eyzies-de-Tayac- Photo C. Regnier

Cupules - La Ferrassie
Cupules creusées sur un bloc – Abri de la Ferrassie – Exposé au Musée des Eyzies-de-Tayac – Photo Kroko pour Hominides.com

L’inventaire des signes géométriques dans les sites d’art pariétal en France et dans le reste de l’Europe est un autre domaine appelant de nouvelles recherches. Il n’existe, en général, que peu de photographies des signes géométriques et lorsque j’ai, à l’origine, compilé ma base de données j’ai été contrainte de me reposer dans une large mesure sur des descriptions et des inventaires écrits.¹ L’accent a souvent été mis sur les descriptions d’animaux alors qu’on a l’impression que les signes géométriques n’ont été traités qu’après coup, si même toutefois ils figurent dans l’inventaire détaillé. Dans de nombreux cas j’ai utilisé des photos et des dessins existants et j’ai dû décider par moi-même de ce que chaque site contenait, mais, là encore, ce qui avait été documenté visuellement constituait une limite. Pour éliminer ce défaut, au cours de l’année 2013 je visiterai des sites à travers toute l’Europe (y compris en France, en Espagne, en Italie et dans plusieurs autres pays d’Europe de l’Est) pour photographier certains des signes moi-même. Mon objectif est de créer des inventaires complets pour les sites pour lesquels il n’y a pas de données et, dans ces conditions, il me sera possible d’effectuer de meilleures comparaisons entre les sites et à l’intérieur de ces mêmes sites. A gauche, cupules – Abri de la Ferrassie – Exposé au Musée des Eyzies-de-Tayac – Photo C. Regnier

¹ Ceci n’a été possible que grâce aux nombreux chercheurs qui ont contribué à des ouvrages tels que L’Art des cavernes de même qu’à Leroi-Gourhan, Delluc et Delluc pour leurs inventaires détaillés et leur plans de répartition des figures dans de nombreux sites français dans Préhistoire de l’Art occidental. Ces ouvrages de référence ont été le fondement d’une bonne partie de ma recherche.

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Références mentionnées dans le texte
Bahn, P. G. and Vertut, J.  (1997).  Journey Through the Ice Age.  Berkley: University of California Press, 1st edition.Graziosi, P.  (1960).  Palaeolithic Art.  New York: McGraw-Hill Book Company Inc.
Lartet, E. and Christy, H. (1865-1875).  Reliquiae Aquitanicae. London: Williams and Norgate.
Leroi-Gourhan, A. (1982).  The Dawn of European Art: An Introduction to Palaeolithic Cave Painting. Cambridge: Cambridge University Press.
Leroi-Gourhan, A., Delluc, B. and Delluc, G. (eds). 1995.  Préhistoire de l’Art Occidental.  Citadelles et Mazenod, Paris.
Lewis-Williams, D. (2002).  The Mind in the Cave: Consciousness and the Origins of Art.  London: Thames and Hudson.
Ministère de la Culture (France) (Ed.) (1984).  L’Art des Cavernes: Atlas des Grottes Ornées Paléolithiques Françaises.  Imprimerie Nationale, Paris.
Sauvet, G. (1993).  “Les Signes Prehistoriques” in L’Art pariétal paléolithique. Techniques et Méthodes d’étude (GRAPP), éd. du CTHS, 219-2

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