Skip to content
Logo Hominides.com

Hominides

Les évolutions de l'Homme, de Toumaï à Homo sapiens

  • Home
  • Dossiers
    • Evolution des espèces
    • Spécialistes
    • Animaux préhistoriques
  • Articles
  • Chronologie
    • La Terre et la vie
    • La Préhistoire
    • Les cultures lithiques
  • Art préhistorique
  • Hominidés
  • Musées et sites
  • Livres et médias
  • Enfants
  • Toggle search form
  • La plus ancienne famille du Néolithique ! Etudes et recherches
  • La parure en callaïs du néolithique moyen Expositions
  • Mastodontes : une histoire de famille Expositions
  • Bêtes à tout faire Expositions
  • Benoît Clary, illustrateur Expositions
  • Au temps des mammouths Expositions
  • Un fossile de Maludong en Chine révèle des mouvements de populations vers les Amériques Etudes et recherches
  • La subsistance des Néandertaliens dans la région méditerranéenne Conférence

L’ours dans l’art préhistorique

Posted on 18 octobre 201624 juillet 2022 By Christian REGNIER Aucun commentaire sur L’ours dans l’art préhistorique

L’ours dans l’art préhistorique
Une exposition du 16 octobre 2016 au 30 janvier 2017
Musée d’Archéologie Nationale
Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

L’ours dans l’art préhistorique Exposition du 16 octobre 2016 au 30 janvier 2017 Musée d’Archéologie Nationale Domaine national de Saint-Germain-en-Laye

Les pensées et les croyances des chasseurs-cueilleurs du Paléolithique supérieur (entre – 38 000 et – 11 000 ans environ) n’ont laissé que des traces fragiles et souvent fugaces. Pourtant, les artistes qui se sont exprimés de manière discrète sur de petits objets d’art, ou de façon spectaculaire sur les parois des grottes, nous ont offert une occasion extraordinaire de saisir la complexité de la vie intellectuelle ou spirituelle de leurs contemporains, il y a plusieurs dizaines de millénaires.
En choisissant de s’intéresser à l’ours dans l’art préhistorique, cette exposition a pour objectif de faire découvrir à un public familial la diversité et l’incroyable qualité plastique de l’art paléolithique, des statuettes en os ou en bois de renne aux plaquettes de pierre gravées, en passant par les peintures réalisées dans les grottes. Les pièces exposées, issues des collections de nombreux musées, témoignent de l’extraordinaire richesse de cet art. De manière originale, le parcours présentera en vis-à-vis les objets d’art mobilier et les œuvres pariétales, afin de permettre au visiteur d’apprécier à la fois les similarités et les grandes divergences des deux types d’expressions plastiques des hommes préhistoriques.
L’exposition permet aussi d’explorer les rapports qui ont uni les ours, ces animaux impressionnants et fascinants, aux hommes de la Préhistoire qui les ont côtoyés, chassés ou craints. Les ours sont représentés durant toutes les périodes du Paléolithique supérieur, même si une grande majorité des figurations est attribuée au Magdalénien (de – 19 000 à – 11 000 ans).
Comme pour l’ensemble des animaux dans l’art paléolithique, les figurations d’ours ne sont pas très réalistes, mais fondées sur l’utilisation et même l’exagération de certains caractères anatomiques. Les ours sont ainsi identifiables grâce à des critères, des « codes » que les visiteurs apprennent à reconnaître.De plus, les ours occupent une place singulière dans ces œuvres que nous ont laissées les hommes de la Préhistoire. Parfois associés à d’autres animaux, voire aux hommes, ils sont le plus souvent figurés entre eux. Et, sur les parois des grottes, il faut dans bien des cas les chercher, les déchiffrer tant ils sont discrets voire dissimulés.

Hominides.com

Une exposition exceptionnelle avec des pièces venant de nombreux sites et gisements.
Une présentation claire mettant correctant en lumière et en expsoition les sculptures et même les gravures !

Magnifique !

CR

Visite de l’exposition L’ours dans l’art préhistorique

Entrez dans la Préhistoire
En Europe, le début du Paléolithique supérieur correspond à l’arrivée de l’Homme moderne ou Homo sapiens, il y a environ 40 000 ans. C’est une étape culturelle importante de l’histoire de l’humanité. Le Paléolithique supérieur est caractérisé par de nouveaux comportements économiques. Les hommes modernes exploitent au maximum leur environnement. Leurs habitats, situés à l’entrée des grottes ou, le plus souvent, en plein air, sont de plus en plus élaborés et organisés en réseaux. Les hommes occupent de vastes territoires, suivant des déplacements saisonniers dictés par l’acquisition de nourriture (chasse, pêche, cueillette) ou celle de matières premières (collecte de silex), qu’ils transportent ou échangent sur de longues distances. La chasse bénéficie de nouvelles techniques et de nouvelles stratégies, beaucoup plus sélectives. Les hommes modernes chassent surtout les troupeaux de grands herbivores, tels que les chevaux, les rennes ou les bisons. En complément, la pêche et la récolte de coquillages se développent. Les matières dures animales, comme l’os, le bois de renne ou l’ivoire de mammouth, qui étaient peu exploitées auparavant, sont de plus en plus utilisées pour la fabrication des outillages et des armements.
C’est au Paléolithique supérieur que l’industrie lithique (la taille des pierres, surtout du silex) connaît son apogée, avec la production de lames, et, à partir de ces lames, de types d’outils spécialisés : grattoirs, burins et perçoirs. Les outils, de petite taille, étaient le plus souvent emmanchés.

Entrée exposition – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain
Une muséographie originale dont les parois évoquent l’ours… bien sûr ! – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

Le Paléolithique supérieur est aussi et surtout caractérisé par l’épanouissement de la pensée symbolique. Les premiers éléments de parure témoignent à la fois de relations sociales complexes et de considérations esthétiques. L’invention de l’art mobilier (art des objets) et de l’art pariétal (art des parois des grottes), sculpté, gravé ou peint, correspond à l’apparition de nouvelles préoccupations intellectuelles et spirituelles.
A gauche – Une muséographie originale dont les parois évoquent l’ours… bien sûr !

Canine d’ours – Laugerie-Basse – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

Les ours une longue évolution
Il existe actuellement huit espèces d’ours réparties sur trois continents : l’Europe, l’Asie et l’Amérique. Dans les régions arctiques règne l’Ours blanc, parfaitement adapté au climat polaire. L’Ours brun est le mieux connu et le plus répandu dans tout l’hémisphère nord. En Amérique du Nord, on le connaît sous le nom de Grizzly et il partage son territoire avec l’Ours noir d’Amérique  qui constitue l’espèce la plus importante. Seul habitant de l’Amérique du Sud, l’Ours à lunettes ou Ours des Andes est reconnaissable à ses deux cercles crème autour des yeux.
L’Ours noir d’Asie est également appelé Ours à collier, en raison du croissant clair qui orne sa poitrine sombre. Il occupe de nombreux territoires, depuis l’Iran jusqu’au Japon. En revanche, l’Ours lippu ne vit que dans une petite partie de l’Asie, dans l’est de l’Inde et au Sri Lanka. Il possède des lèvres épaisses qui font de lui un véritable « aspirateur à termites » ! L’Ours des cocotiers porte aussi le nom d’Ours malais, car on ne le trouve qu’en Asie du Sud-Est, notamment en Malaisie. Plus rare encore, le Grand panda vit exclusivement dans le centre de la Chine.

Crâne d’ours des cavernes Provenance inconnue Datation estimée entre – 250 000 et – 20 000 ans. – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

Les ours que nous connaissons aujourd’hui sont tous le fruit d’une longue évolution. Il y a vingt millions d’années, apparaît la famille des Ursidés, puis, au sein de cette famille, le genre Ursavus, c’est-à-dire les premiers ours. Celui-ci donne naissance, vers – 5 millions d’années, au genre Ursus, avec une première espèce de petite taille : Ursus minimus. De ce petit ours sont issues deux espèces actuelles : l’Ours noir d’Amérique et l’Ours noir d’Asie, ainsi qu’une espèce européenne ancienne : l’Ours étrusque.
À partir de l’Ours étrusque, émergent, il y a un ou deux millions d’années, l’Ours brun et l’Ours de Deninger, ancêtre de l’Ours des cavernes, apparu vers – 250 000 ans. Si l’Ours brun existe toujours, l’Ours des cavernes s’est éteint, il y a 20 000 ans environ. Ce sont l’Ours brun et l’Ours des cavernes qui nous intéressent ici, puisque ce sont les deux espèces que les hommes préhistoriques ont côtoyées.

Les ours dans l’art préhistorique
Dès les premières découvertes d’objets d’art paléolithiques, les préhistoriens se sont intéressés aux figurations d’ours, notamment d’ours des cavernes, dans le but de prouver la contemporanéité de l’Homme avec cette espèce disparue et, de fait, sa grande ancienneté.Ce n’est qu’à partir du début du XXe siècle que les représentations d’ours ont été étudiées pour elles-mêmes.

Lissoir gravé Grotte de la Vache – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain
Galet de schiste gravé d’un ours Grotte de Massat – Arièges Magdalénien entre – 19 000 et -11000 ans. – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

En 1924, l’abbé Henri Breuil, Louis Capitan et Denis Peyrony consacrent une monographie aux gravures pariétales de la grotte des Combarelles, en Dordogne. Ils y décrivent une vingtaine d’ours, qu’ils comparent à plus de trente autres figures provenant de divers gisements. Quatre ans plus tard, Henri Bégouën et l’abbé Breuil dépeignent les ours gravés sur les parois de la grotte des Trois-Frères, en Ariège. Ils les qualifient d’ours « déguisés », car l’un d’eux semble posséder une tête de loup et un autre, une queue de bison…
Dans les années 1950, l’abbé Henri Breuil, Louis-René Nougier et Romain Robert publient un article sur le « lissoir aux ours » découvert dans la grotte de La Vache (Ariège) et sur les ours dans l’art préhistorique de la zone franco-cantabrique. Plus d’une centaine de représentations, réparties à parts égales entre l’art mobilier et l’art pariétal, sont attribuées, pour un quart d’entre elles, à la première moitié du Paléolithique supérieur (entre – 38 000 et – 22 000 ans), et, pour les trois quarts, au Solutréen ou au Magdalénien (entre – 22 000 et – 11 000 ans).
En 1969, le premier volume que Léon Pales et Marie Tassin de Saint-Péreuse dédient aux plaquettes gravées de la grotte de La Marche (Vienne) traite exclusivement des félins et des ours. Enfin, dans le cadre d’un colloque sur L’Ours et l’Homme, en 1997, François Rouzaud dénombre cent quatorze représentations d’ours certaines ou crédibles, à partir d’une liste de plus de cent cinquante figurations. Au-delà de leur apport scientifique, la plupart de ces ouvrages ou tirés-à-part revêtent un grand intérêt historique et patrimonial.

Plaquette gravée figurant un ours et un renne – Gravure sur pierre – Grotte de la Marche – Lussac – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

La place de l’ours dans l’art préhistorique
On ne connaît que très peu de scènes dans l’art préhistorique, et elles sont alors particulièrement difficiles à interpréter. Il existe cependant quelques mises en situation réalistes impliquant des ours comme sur la plaquette de La Madeleine (Dordogne), où des pattes griffues d’ours attaquent des saumons. Seul le cœur de l’histoire est figuré : les griffes, le poisson… Peu importe que le reste de l’ours ne soit pas dessiné, ou que le saumon soit d’une taille bien supérieure à la normale : la scène de pêche semble évidente.
En général, les animaux sont juxtaposés les uns à côté des autres, ou même superposés, sans que leurs taille ou orientation respectives ne soient un problème. C’est le cas pour les objets de La Vache, en Ariège, où l’image de l’ours côtoie celle de l’homme, du cheval, de l’oiseau, du félin… Le symbole réside autant dans la composition que dans l’histoire qu’elle pourrait éventuellement raconter.

Les représentations d’ours ont régulièrement été associées entre elles. On retrouve ce choix à plusieurs époques et dans plusieurs cultures. C’est d’autant plus étonnant que l’ours est plutôt un animal solitaire, à l’exception de la mère qui accompagne sa portée pendant plusieurs mois après la mise-bas. Le corpus rassemble plusieurs exemples du thème des deux ours se suivant : sur un os à Isturitz (Pyrénées-Atlantiques), sur une paroi de la grotte à Ekain (Pays basque, Espagne). Ces deux lieux, situés de part et d’autre des Pyrénées, ne sont distants que d’une centaine de kilomètres des représentations d’ours attribuées à la même période : s’agit-il d’un même groupe humain ou d’une simple coïncidence ?
À La grotte de la Vache, une pièce attire plus encore notre attention. Un bel ours complet est associé à trois individus incomplets. L’abbé Henri Breuil y voyait une « touchante scène familiale ». On pourrait y lire un épisode de la vie de l’ourse, lorsqu’elle sort de sa tanière au printemps avec ses petits. Les associations des ours entre eux peuvent au contraire être plus symboliques que réalistes. Les quatre ours du bâton percé de La Vache ont ainsi été soigneusement positionnés sur ce support, deux par face, entre des séries de cannelures. Sur cet objet comme sur d’autres, l’association des ours entre eux semble être une solution pour mieux les mettre en valeur, en les isolant du reste du bestiaire.

Galet gravé, 3 ours. Grotte de la Colombière Neuville-sur-Ain Magdalénien entre – 19 000 et -11000 ans. – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain
bâton percé figurant un ours de face. On distingue nettement ces deux oreilles rondes. Grotte de Massat – Arièges. Magdalénien entre – 19 000 et -11000 ans. – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain
Contour découpé et gravé figurant une tête d’ours Grotte de Bedeilhac, Bedeilhac-et-Aynat. – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

L’ours après la préhistoire
L’Ours occupe une place singulière dans les contes et les croyances des peuples qui le côtoient. Parce qu’il est omnivore et capable de se tenir debout, il est souvent considéré comme un homme sauvage ou comme un ancêtre de l’Homme. Dans la mythologie inuit, les ours enlèvent leur fourrure pour devenir humains, et réciproquement. Chez les Amérindiens et les Sibériens, les chamanes, qui établissent des liens entre le monde des vivants et celui des esprits, se métamorphosent souvent en ours.

Le thème de l’ours amant, fiancé ou mari est également présent dans de nombreuses cultures. Le conte Jean de l’Ours, un des récits les plus répandus dans le monde, décrit un homme incroyablement fort – dont le père est un ours – qui parvient à épouser une princesse.

Ourson assis sculpté dans du bois de renne Abri Laugerie-Basse, Eyzies-de-Tayac – Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

Suivant la même logique, un ourson peut être adopté par une femme, ou un nourrisson par une ourse. La chanson de geste médiévale Valentin et Orson raconte l’histoire de deux princes frères jumeaux, l’un élevé par sa mère, l’autre enlevé par une ourse, qui finissent par se retrouver. Dans le conte de Grimm Boucle d’Or et les Trois Ours, une petite fille perdue dans la forêt se réfugie dans la maison des ours, étrangement humaine.
Lorsqu’il sort de son hivernation, l’ours est aussi un symbole du renouveau de la nature. La Grèce antique voue un culte à la déesse de la fécondité Artémis, dont l’animal préféré est l’Ours (Arctos). Artémis transforme d’ailleurs en ourse la nymphe Callisto, qui a été séduite par Zeus et qui donne naissance à Arcas. Pour sauver Callisto et Arcas, Zeus les transporte dans le ciel, où ils deviennent les constellations de la Grande et de la Petite Ourse. Afin de christianiser le culte païen de l’Ours, l’Église fait coïncider la fête des Chandelles ou Chandeleur avec la fête du Chant de l’Ours, le 2 février, jour où l’animal sort de sa tanière. Cette tradition carnavalesque est cependant maintenue en Europe… Le Moyen Âge met fin à la suprématie de l’Ours en faisant du Lion, symbole rapporté d’Orient par les Croisés, le roi des animaux.

Rondelle découpée Homme et patte d’ours…
Grotte du Mas d’Azil
– Photo Neekoo pour Hominides.com – L’ours dans l’art préhistorique – MAN – Musée de St Germain

Jouant un rôle scientifique majeur dans le domaine de l’art préhistorique depuis son ouverture en 1867, le Musée d’Archéologie nationale s’attache à présenter l’état des recherches sur le sujet, tout en les rendant accessibles au plus grand nombre. L’exposition comporte des écrans avec des animations 3D qui aident les visiteurs à lire les représentations les plus subtiles, un espace vidéo immersif présentant l’art pariétal, ainsi qu’un jeu interactif sur les matières, les techniques et les styles des objets d’art figurant des ours.

Exposition « L’ours dans l’art préhistorique » en pratique
16 octobre 2016 au 30 janvier 2017

Horaires :
Le musée est ouvert toute l’année de 10h à 17h.
Fermeture les mardis, 25 décembre, 1er janvier et 1er mai.

Tarif : 4,50 €

Lieu de l’exposition :
Musée d’Archéologie Nationale – Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Château de Saint-Germain-en-Laye
Place Charles de Gaulle
78105 Saint-Germain-en-Laye

Information :
Renseignements: 01 39 10 13 00

A voir également,
Musée de l’ours des cavernes

Expositions Tags:art, mobilier, ossements, ours, ourson, parietal, prehistoire, prehistorique

Navigation de l’article

Previous Post: De nouvelles empreintes de pas à Laetoli
Next Post: 400 empreintes de pas en Tanzanie avec une nouvelle datation

Articles similaires

  • Néandertal l’européen Expositions
  • Mémoire de sable Expositions
  • En matière de préhistoire
    En matière de Préhistoire Expositions
  • Affiche
    Mythique Préhistoire Expositions
  • Le Préhistorique
    Le préhistorique Expositions
  • L'après Histoire
    Jean Fontaine L’après Histoire Expositions

Articles connexes

Le rouge et le noir Expositions
Préhistoire(s) l'enquête Préhistoire(s), l’enquête Expositions
Mastodontes : une histoire de famille Expositions
affiche expo Aux frontières de l’Humain Expositions
Cheval et bison - grotte de Cussac Entrez dans la grotte de Cussac Expositions
Sur la piste des grands singes Expositions

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

  • Moulages anthropologiques : l’intérêt original des copies15 août 2022
  • La subsistance des Néandertaliens dans la région méditerranéenne11 août 2022
  • Un fossile de Maludong en Chine révèle des mouvements de populations vers les Amériques22 juillet 2022
  • L’ours et néandertal18 juillet 2022
  • Nocturnes abri Pataud 202212 juillet 2022

adn alimentaire animal archéologie ariege art datation denisova dent espagne espèce evolution exposition famille france gisement gravure gravures grotte génétique histoire homme lascaux livre mammouth mobilier musée néandertal néolithique os outils paléolithique parietal paris pourquoi prehistoire préhistoire sapiens théorie évolution

  • Moulages anthropologiques : l’intérêt original des copies15 août 2022
  • Heureuse préhistoire8 juillet 2022
  • Venus, les représentations féminines de la préhistoire6 juillet 2022
  • Sur la piste des grands singes1 juillet 2022
  • Mémoire de sable29 juin 2022
  • La grotte Chauvet remise à neuf ! Etudes et recherches
  • Squelette fossile de licorne
    Préhistoires imaginaires Actualité
  • Les peintures de la grotte Chauvet seraient bien les plus vieilles du monde Etudes et recherches
  • L'origine des mythes d'origine
    L’origine des mythes d’origine Conférence
  • La plus ancienne trace d’art préhistorique en Australie : moins 28 000 ans Etudes et recherches
  • Animaux disparus, enquête à l’âge de glace Expositions
  • Préhistoire(s) l'enquête
    Préhistoire(s), l’enquête Expositions
  • Trois dents de Néandertal en Pologne… Etudes et recherches
  • Actualité
  • Conférence
  • Etudes et recherches
  • Expositions
  • Livres
  • Manifestations

abri adn alimentaire animal archéologie ariege art cannibalisme datation denisova dent espagne espèce evolution exposition faits famille france gisement gravure gravures grotte génétique histoire homme lascaux livre mammouth mobilier musée néandertal néolithique os outil outils paléolithique parietal paris pourquoi prehistoire préhistoire sapiens théorie traces évolution

  • Plan du site
  • Contact
  • Lien 3
  • Lien 4

Copyright © 2022 Hominides.

Ce site web utilise des cookies. Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. En cliquant sur “Accepter Tout”, vous acceptez l'utilisation de TOUS les cookies. However, you may visit "Cookie Settings" to provide a controlled consent.
RéglagesAccepter tout
Changer son consentement

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer