Skip to content
  • Facebook Hominides
  • Instagram
Logo Hominides.com

Hominides

Les évolutions de l'Homme, de Toumaï à Homo sapiens

  • Accueil
  • Dossiers
    • Evolution des espèces
    • Spécialistes
    • Animaux préhistoriques
  • Articles
  • Chronologie
    • La Terre et la vie
    • La Préhistoire
    • Les cultures lithiques
  • Art préhistorique
  • Les hommes préhistoriques
  • Musées & Sites
  • Livres et médias
  • Enfants
  • Toggle search form
Accueil / Articles / L’étrange destinée de l’abbé Breuil
  • Ocre Blombos
    La longue histoire du rouge au Paléolithique Conférences
  • Des flèches de 54 000 ans en France Etudes et recherches
  • En Europe aussi Néandertal et Sapiens se sont plus que croisés… Etudes et recherches
  • Une quatrième lignée à l’origine des européens Etudes et recherches
  • Une étude génétique de grande ampleur sur l’ADN européen ancien… Etudes et recherches
  • Découvertes Arcy-sur-Cure
    Homo sapiens était déjà en Europe il y a 45 000 ans Etudes et recherches
  • Dent H.sapiens Bulgarie 45 000 ans
    Homo sapiens en Europe il y a 46 000 ans Conférences
  • Une Europe issue d’un véritable melting-pot Etudes et recherches

L’étrange destinée de l’abbé Breuil


par Pascal Semonsut

Docteur en histoire

Pour les préhistoriens de la seconde moitié du XXe siècle, les préhistoriques sont des mystiques. L’abbé Il ne s’agit pas, dans cet article de retracer la vie et l’œuvre de l’abbé Breuil. Le lecteur intéressé pourra se référer, entre autres biographies, à celle que l’on trouve sur ce site (biographie abbé Breuil). L’objectif est d’apprécier la notoriété de celui que l’on surnomma, non sans une certaine ironie, « le pape de la Préhistoire », ce qui n’était pas pour déplaire à celui qui, au sein même de son institution, n’a jamais exercé de responsabilité, ni même de vrai ministère.

Le « pape de la Préhistoire » ou celui des préhistoriens ?

Abbé Breuil
Abbé Breuil Jeune

Henri Breuil (1877-1961) est, avec Leroi-Gourhan, la figure marquante de la préhistoire française. D’après Philippe Soulier, « ces deux grands préhistoriens ont en effet profondément marqué la préhistoire du XXe siècle » 1. Comme Leroi-Gourhan après lui, il est un notable de la science : professeur à l’Institut de Paléontologie Humaine, premier titulaire de la chaire de préhistoire au Collège de France, il est présent lors de découvertes majeures, comme Les Combarelles ou Font-de-Gaume, et en authentifie de nombreuses dont Altamira, Lascaux ou la grotte de Rouffignac. Enfin, on lui doit une nouvelle classification des industries paléolithiques et l’établissement d’une chronologie de l’art pariétal qui font encore autorité aujourd’hui. Spécialiste de l’art préhistorique, il est certainement de tous les préhistoriens celui qui influença le plus la préhistoire dans ce domaine.

Et même si l’on trouve des préhistoriens et des archéologues tentés par le « meurtre du père » ou le « déboulonnage de statue » comme Jean-Loïc Le Quellec dans La Dame blanche et l’Atlantide, les successeurs de l’abbé préhistorien produisent un discours toujours très laudateur sur le héros de la bataille aurignacienne. Quelques exemples suffiront.
D’octobre 1966 à mars 1967, la Fondation Singer-Polignac organise une exposition sur Breuil. On peut lire en introduction au catalogue publié en 1967 ces mots de Roger Heim, président de la fondation : « le visiteur découvrira dans ces pages de nombreux textes et dessins inédits de Henri Breuil qui permettent de jeter une lumière sur sa prestigieuse personnalité ».
Leroi-Gourhan lui-même peut encore écrire, en 1984, « Penser à l’art préhistorique suggère immédiatement le nom de l’abbé Breuil. Fondateur d’une recherche dont il a conduit l’essor pendant un demi-siècle et qu’il continue de présider, il a attaché sa marque à une œuvre immense et tout effort pour surélever l’étude se fonde sur l’édifice qu’il a construit » 2.

Sur les chemins de la préhistoire
Sur les chemins de la préhistoire – Abbé Breuil – Du Périgord à l’Afrique du Sud

En novembre 1989 se tient le XXIIIème Congrès préhistorique de France. Dans les Actes parus l’année suivante, Jean-Philippe Rigaud écrit : « Breuil fut le premier à tenter et réussir une première synthèse sur la préhistoire culturelle de l’Europe. Malgré ses défauts et ses faiblesses, ce travail, complété par celui de D. Peyrony, a établi les bases de nos connaissances sur le Paléolithique supérieur et, si les buts et les méthodes des recherches actuelles se sont quelque peu déplacés, ces précurseurs ont toutefois été les maillons indispensables à l’établissement de notre science » 3.
Enfin, en 2006 se tient au musée d’art et d’histoire Louis-Senlecq de l’Isle-Adam, la ville où se retira Breuil à la fin de sa vie, une exposition intitulée Sur les chemins de la Préhistoire. L’abbé Breuil du Périgord à l’Afrique du Sud. Le but de cette exposition, comme on peut le découvrir dans l’introduction au catalogue, est de « retracer l’exceptionnel parcours de ce religieux qui consacra sa vie à la science et témoigner de son rôle majeur dans l’archéologie préhistorique de la première moitié du XXe siècle » ; Breuil qui « ne fut pas seulement un acteur prestigieux de la préhistoire mondiale, dans des domaines aussi divers que l’art des grottes ornées, l’industrie et la chronologie du Paléolithique ou les origines de l’Homme [mais également un] voyageur infatigable, arpenteur de nouveaux terrains d’étude, passeur entre les disciplines, créateur et animateur de réseaux institutionnels » 4.
À lire ces différents témoignages, on peut se demander si Breuil n’est pas tout autant le « pape de la Préhistoire » que celui des préhistoriens. Mais si l’abbé est toujours une figure incontournable de la science, un homme dont nul scientifique n’ignore le nom, qu’en est-il du grand public

Un nom oublié mais une oeuvre vivante

Abbé Breuil en BD
L’abbé Breuil héros d’une BD dans le magazine Record

Il était inévitable qu’une telle notoriété scientifique, un tel magistère dépassent les cadres étroits de la communauté préhistorienne. Mais la situation est plus complexe qu’il n’y paraît et il nous faut distinguer Breuil de son œuvre.
Breuil occupe à plusieurs reprises les pages de la presse écrite. Si, d’habitude un préhistorien est présenté aux lecteurs par son statut professionnel, lui représente une exception. En effet, les journalistes insistent avant tout sur sa notoriété à l’occasion de « papiers » sur Lascaux ou la découverte de Rouffignac. Ainsi, le simple abbé devient-il dans les colonnes des journaux ce qu’il n’a jamais été dans l’Église : un homme « vénérable », « éminent », un « maître ». Il est « un des plus grands savants dont la France peut légitimement s’enorgueillir » en occupant « la première place des spécialistes mondiaux de l’art préhistorique ». La palme de l’hagiographie revient au Figaro qui, dans son édition du dix août 1956, n’hésite pas écrire qu’« au-dessus de l’abbé Breuil […] il n’y a personne dans le monde » ! Il est également, pour la presse, la preuve vivante et très chrétienne de la victoire de l’esprit sur le corps puisqu’à Rouffignac, il « s’est imposé, malgré son grand âge, une exploration extrêmement fatigante »et qu’il vient« malgré son âge, de mener pendant douze heures une exploration minutieuse ». Dans l’une de ses rares biographies, on retrouve cette idée d’un homme combattant par l’esprit l’infirmité due à l’âge : « Un an après l’affaire de Rouffignac, au cours de laquelle Breuil avait une fois de plus montré son extraordinaire jeunesse d’esprit et une combativité toujours en éveil, il a quatre-vingts ans. Ce vieillard bedonnant, un peu sourd, la vue usée […] a pourtant gardé sa vivacité, son sens de la répartie et sa curiosité » 5. Breuil disparu, sa mémoire disparaît également des journaux.
 Sept ans après sa mort, il devient l’espace de quelques planches un héros de bande dessinée, dans le magazine Record.

Sa longévité scolaire est nettement plus grande. Si l’on s’intéresse aux auteurs les plus cités par les manuels scolaires de la seconde moitié du XXe siècle, on constate que huit totalisent à eux seuls presque la moitié de toutes les citations d’auteurs. Breuil est à la 4ème place de ce classement (derrière Rosny, Leroi-Gourhan et Boucher de Perthes) occupant les pages des livres de classe des années 1940 à 1960. Accompagnant les élèves des premières années du Baby-Boom, il est, pour ces trois décennies, l’un des savants les plus populaires. Pourtant, sa mort physique appelle sa mort pédagogique, ce qui explique pourquoi le grand savant est aujourd’hui un parfait inconnu pour les non spécialistes.
Pourtant, si le nom de Breuil est aujourd’hui tombé dans l’oubli médiatique et scolaire, son œuvre connaît une survie paradoxale.

Henri Breuil
Henri Breuil

Sur toute la seconde moitié du XXe siècle, l’art est dépeint par les auteurs de manuels essentiellement comme une pratique magique destinée à assurer le succès de la chasse. On lit ainsi dans un manuel scolaire des années 1950 que « l’art n’était pas désintéressé mais magique : ces chasseurs-sorciers pensaient que l’animal représenté en effigie tomberait facilement en leur pouvoir  » et, dans un autre des années 1980, que les hommes préhistoriques « représentaient sur les murs les animaux qu’ils avaient l’habitude de chasser. Sans doute était-ce un rite magique pour s’assurer une bonne chasse ». Les romanciers reprennent cette théorie à leur compte. À titre d’exemples : Norbert Casteret, dans Muta, fille des cavernes, publié en 1965,  explique que « de temps immémorial [la caverne] servait de grotte-temple : c’était la grotte sacrée de la tribu des Rochers. C’est là que Taka traçait sur les parois la silhouette des animaux dont la tribu faisait sa subsistance […]. C’est là aussi qu’il officiait, sur ces fresques destinées à favoriser le succès de la chasse » ; A. Surget, dans Un cheval pour totem,  sorti en 2000, raconte que « les hommes descendaient dans des grottes et faisaient des peintures [ils] voulaient expier le sang des rennes, mais pas pour les beaux yeux des rennes, pour être libres de tout souci et sans remords l’année suivante mieux tuer, d’une main que rien n’entache […] faisant venir le gibier et la pluie en dessinant dans le noir l’un et l’autre, puis dansant devant ce formidable buffet où de grandes vaches sautaient ». Sur toute la seconde moitié du XXe siècle, respectivement plus de 80 % et 60 % des livres de classe et des romans évoquant la signification de l’art le lient à la magie de la chasse.
Cette conception est celle des préhistoriens eux-mêmes. Évoquée par des savants comme Salomon Reinach au tournant des XIXe et XXe siècles, elle est ensuite reprise et, surtout, popularisée par Henri Breuil qui, avec Raymond Lantier, écrit en 1951 que les peintres préhistoriques « avaient trouvé grâce aux croyances à la magie de la chasse, magie de reproduction et de destruction, la raison sociale d’exercer, de développer et d’enseigner leur art. Ils ont été à la fois artistes et magiciens, peignant par amour de l’art, mais aussi pour que le gibier désirable se multiplie, que la chasse en soit favorable, que les animaux malfaisants soient détruits » 6. Elle constitue même sur toute la première moitié du XXe siècle une « sorte de dogme » 7, selon les mots de Jean Clottes. Auteurs de manuels et romanciers ne font alors qu’obéir au « dogme ». Pourtant, dès les années 1960, cette hypothèse est combattue par Annette Laming-Emperaire et André Leroi-Gourhan, tant et si bien qu’aujourd’hui elle se trouve largement dépassée 8. Le « dogme » mort, l’école et la littérature continuent pourtant d’en être les propagandistes zélés. Le paradoxe est d’autant plus criant qu’il connaît, dans les années 1950-1970, à la fois son apogée dans les manuels et les romans et sa disgrâce dans le monde scientifique. Si, dans les trois dernières décennies du siècle, le nom de Breuil a disparu des consciences profanes, son œuvre continue d’y vivre à leur insu.

Abbé Breuil
Abbé breuil à l’IPH

Comment expliquer un tel acharnement didactique et romanesque alors qu’il ne repose sur aucune base scientifique ? L’une des explications tient à Breuil lui-même. Étant l’un des préhistoriens les plus connus, notamment des élèves des années 1940 à 1960, il paraît logique que sa théorie connaisse la même popularité. Mais cette explication n’est pas suffisante puisque l’abbé tombe dans l’oubli scolaire à partir des années 1970. Il faut chercher ailleurs. L’art magique est une conception facile à expliquer et facile à comprendre : les préhistoriques peignent des animaux pour pouvoir les tuer à la chasse. Il faut reconnaître que, bien qu’étant obsolète, une telle conception est fort pratique pour les maîtres : ils sont sûrs de se faire comprendre. Scientifiquement dans le faux, ils sont pédagogiquement dans le vrai, du moins dans l’efficace. On peut comprendre l’attrait qu’elle exerce sur eux, d’autant qu’enseigner le structuralisme de Leroi-Gourhan est une entreprise nettement plus ardue. Le mettre en scène également. Aux statistiques de Leroi-Gourhan les romanciers préfèrent les rites et les incantations autour d’une peinture de Breuil, incomparablement plus vivants, plus évocateurs, en un mot plus distrayants.

Une étrange destinée

Quelle étrange destinée médiatique que celle d’Henri Breuil. Personnage indissociable de la préhistoire mondiale pendant un demi-siècle, figure tutélaire de toutes les générations de préhistoriens qui l’ont suivi, scientifique lié aux plus grands sites paléolithiques comme Lascaux ou Rouffignac, c’est aujourd’hui un nom oublié du grand public parce qu’oublié de l’école et de la presse. En revanche, son interprétation de l’art pariétal, interprétation pourtant scientifiquement erronée, continue de vivre clandestinement encore dans les dernières décennies du 2ème millénaire grâce aux efforts conjugués de l’école et de la fiction.

Pascal Semonsut
Docteur en histoire

1 P. Soulier, « Henri Breuil et André Leroi-Gourhan, préhistoriens au XXe siècle » in Sur les chemins de la préhistoire. L’abbé Breuil du Périgord à l’Afrique du Sud, Musée départemental de Préhistoire d’Ile-de-France/Somogy, 2006, p. 197.
2 A. Leroi-Gourhan, Le fil du temps, Fayard, Coll. Le temps des sciences, 1984, p. 271.
3 J.-P. Rigaud, « Le paléolithique supérieur de Henri Breuil » in J.-P. Mohen, Le temps de la Préhistoire, SPF/Archéologia, 1990, p. 23.
4 « Introduction » inSur les chemins de la préhistoire. L’abbé Breuil du Périgord à l’Afrique du Sud, op. cit., p. 15.
5 N. Skrotzky, L’abbé Breuil et la préhistoire, Éditions Seghers, Coll. Savants du monde entier, 1964, p. 169.
6 H. Breuil, R. Lantier, Les hommes de la pierre ancienne, Payot, 1951, p. 215.
7 J. Clottes, D. Lewis-Williams, Les chamanes de la Préhistoire, Points Seuil, 2007, p. 66.
8 S. A. de Beaune, « La Préhistoire est-elle toujours une science humaine ? », in J.Évin (Dir.), Un siècle de construction du discours scientifique en préhistoire, SPF, 2007,  p. 14.

Les liens présentés dans cette page sont choisis par Hominides.com

Du même auteur, Pascal Semonsut

Le passé des fantames
Commande sur Amazon

Le passé du fantasme
La représentation de la préhistoire en France dans la seconde moitié du XXe siècle, éditions Errance, 2013.

Pascal Semonsut présente les représentations de la préhistoire depuis les années 50. On pourrait penser naturellement que cette science n’évolue pas beaucoup du fait qu’elle étudie des objets et des faits qui datent de plusieurs dizaines de milliers d’années… Pascal Semonsut nous démontre le contraire ! Le cinéma, les livres scolaires, les films, les bandes dessinées et bien sur la télévision présentent la préhistoire de manières différentes selon l’époque, le contexte politique.
Chacun a sa propre vision de la préhistoire. Avec cet ouvrage on découvre pourquoi et comment cette vision s’est construite !
En savoir plus sur Le passé du fantasme

Lire également d’autres articles de Pascal Semonsut :
La Préhistoire sous le signe de l’ambiguïté
Les préhistoriens réels et imaginaires de la deuxième moitié du XXème siècle
La Préhistoire sur grand écran
Annaud et Malaterre, deux réalisateurs en préhistoire
La représentation du feu à la préhistoire
Le soleil, des morts et des pierres
De Rosny à Jean Auel : les écrivains de Préhistoire dans la seconde moitié du XXe
Les romans préhistoriques
Et la femme de Cro-Magnon ?
De Tounga à Vo’Hounâ. Un demi-siècle de BD préhistorique
L’étrange destinée de l’abbé Breuil
Jean Clottes, un archéologue dans le siècle
La guerre du feu
Jules Verne et la préhistoire
Néandertal la légende
Le néolithique vu par les historiens
Préhistoire, un monde de violence
L’étonnant destin de la frise de l’évolution

  • Actualité de la recherche archéologique et géoarchéologique en Brière : présentation de l’opération et des études en cours20 mars 2023
  • Une Europe issue d’un véritable melting-pot17 mars 2023
  • La longue histoire du rouge au Paléolithique17 mars 2023
  • Dames et Princes de la Préhistoire13 mars 2023
  • Les migrations humaines vers les Amériques facilitées par des changements climatiques…10 mars 2023

En avant pour les vacances d'hiver

Arts et préhistoire - Une exposition au Musée de l'Homme à Paris du 16 novembre 2022 au 22 mai 2023.

adn alimentaire animaux archéologie art chasse conférence datation dent découverte espèce europe exposition femme france gravure grotte génétique histoire homme homo livre mammouth mobilier musée néandertal néolithique os outils paléolithique parietal pourquoi prehistoire primate préhistoire préhistorique questions sapiens théorie évolution

  • Momies – Exposition27 février 2023
  • Néolithique. Les villages de Chalain & Clairvaux, patrimoine de l’humanité23 février 2023
  • Néandertal l’expo – Val-d’oise10 février 2023
  • Picasso et la Préhistoire – Exposition9 février 2023
  • Histoires naturelles16 décembre 2022
  • Une guerre préhistorique entre clans il y a 10 000 ans ? Etudes et recherches
  • Pech Merle , un siècle d’histoire Manifestations
  • L’ADN des orangs-outans, sa diversité peut être une chance… Etudes et recherches
  • Sapiens n’aurait jamais croisé Homo erectus à Java Etudes et recherches
  • Les habitudes alimentaires des Néandertaliens Etudes et recherches
  • Néandertal, on se rapproche de plus en plus ! Etudes et recherches
  • Les Néandertaliens et les Homo sapiens du Levant : une histoire complexe Conférences
  • Premières appropriations du milieu souterrain Conférences
pub
  • Actualité
  • Conférences
  • Etudes et recherches
  • Expositions
  • Livres
  • Manifestations

adn alimentaire animaux archéologie art chasse conférence datation dent découverte espèce europe evolution exposition femme france gravure gravures grotte génétique histoire homme homo livre mammouth mobilier musée néandertal néolithique os outil outils paléolithique parietal pourquoi prehistoire primate préhistoire préhistorique questions réponses sapiens sépulture théorie évolution

  • Plan du site
  • Contact
  • Mentions légales

Copyright © 2008-2023 Hominides.com - Tous droits réservés

Ce site web utilise des cookies. Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. En cliquant sur “Accepter Tout”, vous acceptez l'utilisation des cookies. Refuser Tout Vous pouvez également cliquer sur "Réglages" pour affiner votre choix.
RéglagesAccepter tout
Changer son consentement

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Nécessaires
Toujours activé
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Ces cookies assurent les fonctionnalités de base et les éléments de sécurité du site Web, de manière anonyme.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Fonctionnels
Les cookies fonctionnels aident à exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur les plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analyse
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur les métriques du nombre de visiteurs, du taux de rebond, de la source du trafic, etc.
Publicité
Les cookies publicitaires sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités et des campagnes marketing pertinentes. Ces cookies suivent les visiteurs sur les sites Web et collectent des informations pour fournir des publicités personnalisées.
Autres
Les autres cookies non classés sont ceux qui sont en cours d'analyse et qui n'ont pas encore été classés dans une catégorie.
Enregistrer & appliquer