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Les évolutions de l'Homme, de Toumaï à Homo sapiens

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Alimentation dans la préhistoire

« L’homme préhistorique était carnivore, dévorant à pleines dents de la chair fraîche« . Voilà ce qu’on imagine généralement en pensant à l’homme préhistorique. Cette image d’Epinal est enracinée dans notre culture et permet à certains esprits étroits de se dire que, décidément nous sommes bien différents de cet ancêtre.
La réalité est toute autre, nos origines étant plutôt végétariennes que carnivores !
Nous commencerons par présenter les méthodes qui permettent de déterminer le régime alimentaire de nos ancêtres de la Préhistoire. Cela nous permettra de montrer l’évolution de l’alimentation des hominidés sur 7 millions d’années.
Nous finirons par l’étude particulière du mode d’alimentation des différentes lignées.

Comment savoir ce que les hommes préhistoriques mangeaient ?

Traces d’usure sous forme de stries – Dent de Néandertal étudiée au microscope à balayage électronique. Les traces laissées sur les dents fossilisées
En analysant, grâce au microscope à balayage électronique, l’émail dentaire on peut découvrir des stries d’utilisation provoquées par le type d’aliment mâché. L’existence de stries verticales et longues indiquent une alimentation à base de viande. Des stries horizontales témoignent d’une alimentation plus riche en végétaux.
Par ailleurs, la consommation de feuilles laisse des traces de polissage sur les incisives.
Les hommes, omnivores, ont des stries obliques depuis le début.
Sur les dents du tartre a pu se fossilisé. L’ADN contenu dans ce tartre indique le type d’aliment voir l’espèce animale ou végétale qui était consommée.
(Image de gauche – mâchoire néandertalien de Spy. )

Tarter sur les dents de Néandertal

Composition chimique des dents et des os

L’étude de la composition des dents et des os peut également donner des indications sur le type d’aliment ingéré habituellement .
– la proportion de 13 C par rapport au 12C permet de repérer de rares humains se nourrissant presque exclusivement de viandes (Néandertaliens de Sclayn en Belgique et de Marillac en Charente).
– le rapport strontium Sr/ Ca calcium est élevé chez les plantes, diminue progressivement chez les herbivores et encore plus fortement chez les carnivores.
– une forte proportion d’azote 15 montre la consommation d’aliments lactés.

Le type de dents retrouvées

En observant la denture, la forme des mâchoires et les insertions des muscles masticateurs sur le crâne d’un animal, on peut déterminer son régime alimentaire habituel.
Des dents massives, en forme de meule, plaident pour une alimentation d’herbes et de graines, alors que des dents plus petites avec des canines et des incisives marquées montrent plutôt un régime de type omnivore.

(Image de gauche : mâchoires et dents d’Australopithecus afarensis, Neekoo pour Hominides.com ).

Dents et machoire Lucy

Etude de la faune, de la flore et de l’environnement de l’époque

La connaissance des hominidés (ou des homininés), de leurs savoir-faire (armes de chasse, outils) et de l’environnement, permet également de visualiser leurs ressources disponibles :

  • soit au sens géographique, comme la rareté de la végétation dans les régions nordiques (mais même les Inuits ont toujours eu une ration végétale d’environ 20 % de leur ration énergétique quotidienne)
  • soit au sens des possibilités, comme la chasse des grands animaux rendue uniquement possible par l’utilisation d’armes.

Evolution chronologique du régime alimentaire des hominidés.

L’étude des hominidés, de leur squelette, de leurs dents et de leur environnement permet donc d’estimer leur régime alimentaire. Le schéma ci-dessous tente de montrer l’évolution des proportions des types d’aliments ingérés suivant les époques.

Evolution chronologique du régime alimentaire des hominidés

L’étude des hominidés, de leur squelette, de leurs dents et de leur environnement permet donc d’estimer leur régime alimentaire. Le schéma ci-dessous tente de montrer l’évolution des proportions des types d’aliments ingérés suivant les époques.

L'alimentation depuis les australopithèques
Tableau indiquant le type d’alimentation des hominidés selon les espèces : frugivore, carnivore, végétarien…

A noter : les hominidés du Paléolithique avaient véritablement des habitudes alimentaires très différentes suivant le climat et l’environnement. Près des côtes il est prouvé que les préhistoriques consommaient des coquillages par exemple.

Période végétarienne et insectivore : le Miocène
Aussi loin qu’on recherche notre ancêtre, vers 7 millions d’années, nous retrouvons des êtres se nourrissant de végétaux, de tubercules, de racines, d’insectes et éventuellement de petits animaux.

Introduction de la viande : le Pliocène
Si les hominidés de cette période ont toujours principalement un régime alimentaire végétarien, certaines espèces semblent consommer de plus en plus de viande. C’est d’abord par charognage (solution la plus simple) puis peu à peu en chassant que l’alimentation carnée est introduite.

L’alimentation carnée s’amplifie : le Paléolithique ancien
La viande (et pour ce qu’on en sait assez tardivement, le poisson) deviennent les principaux aliments de nos ancêtres. Bien sûr la consommation de végétaux et de fruits est toujours importante car elle représente, entre autres, un apport nécessaire de vitamines (et d’indispensables fibres végétales). Il faut noter que les hominidés de cette période consommaient 3 à 10 fois plus de vitamines que l’homme moderne.

Introduction des céréales et du lait : le Néolithique
Le changement de vie au Néolithique s’accompagne rapidement de modifications profondes dans l’alimentation des hommes, au détriment de la viande. D’abord cueillies, les céréales sont cultivées et prennent une place importante dans le régime alimentaire. L’élevage des animaux permet d’introduire un aliment qui était jusque-là réservé aux enfants : le lait. Une « nouvelle cuisine » apparaît avec la céramique : les purées et les bouillies. Conséquence sur la santé, la multiplication des caries sur les dents fossilisées qui étaient très rares au Paléolithique… (voir la news « Une opération dentaire il y a 9000 ans« )

La révolution industrielle
En industrialisant ses productions, y compris pour les aliments, l’homme va modifier encore une fois très rapidement son régime alimentaire. En moins de 200 ans nous nous sommes de plus en plus éloignés du produit frais. Les aliments nous parviennent sucrés, enrichis, contenant de plus en plus de graisses (mauvais acides gras saturés), de sel, de conservateurs, de colorants… et bien moins de fibres végétales. Après la carie ce sont véritablement l’obésité généralisée et ses complications (diabète, maladies cardio-vasculaires) qui nous guettent !

Alimentation par lignée

Toumaï (Sahelanthropus tchadensis)
Toumaï est actuellement le seul représentant de sa lignée, on peut toutefois avancer « qu’avec sa morphologie dentaire et ses dents recouvertes d’un émail d’épaisseur intermédiaire entre les grands singes et les humains il avait déjà rajouté des éléments plus coriaces (noix, rhizomes, racines,…), plus durs à son menu (fruits mûrs, feuilles tendres…). » Michel Brunet.

Sahelanthropus tchadensis crane

Les australopithèques
Les éléments dont nous disposons indiquent que les australopithèques étaient végétariens et insectivores mais que, à l’occasion, il leur arrivait de déguster des rongeurs, des reptiles, des oiseaux, des oeufs. Les espèces robustes se différencient par une alimentation exclusivement végétarienne.
Les australopithèques de l’Afar consommaient abondamment les parties souterraines des plantes (racines, bulbes, tubercules, rhizomes…) comme d’autres aliments coriaces tels que des légumes et des fruits.
(Image de droite : dentition d’Australopithecus anamensis KNM KP 29 283)

Australopithecus africanus

Les paranthropes
Une récente étude sur l’émail de quatre paranthropes d’Afrique du sud a été menée par l’équipe de Matt Sponheimer (Université du Colorado, USA). Les résultats ont permis d’enrichir le menu de Paranthropus robustus que l’on croyait uniquement composé de plantes fibreuses et dures, de graminées, de tubercules et de racines. Son énorme mâchoire lui permettait également de déguster de petits arbustes et de l’herbe du carex…
(image de gauche : mandibule Paranthropus boisei)

Paranthropus boisei


Le genre Homo

Homo habilis
Son appareil masticateur reflète un régime de plus en plus omnivore. Il se nourrit pour plus des deux tiers de végétaux comme des bourgeons, jeunes feuilles, fruits, baies (en saison humide) et de noix, rhizomes, bulbes (saison sèche). Pour la viande, ils doivent en priorité dépecer des carcasses de gros herbivores tués par d’autres animaux et de manière plus ponctuelle attraper de petites proies (jeunes cochons, petits singes…)
(Image de droite : mâchoire d’Homo habilis retrouvée à Olduvaï et datée de 1,75 Ma)

Homo habilis - Reconstitution

– Homo erectus
Si Homo erectus (et ergaster) continue à se nourrir de végétaux, il consomme de plus en plus de viande. Pour cela il pratique une chasse active sur de gros gibiers. Il développe pour cela de nombreux outils et armes. Cette pratique intensive de la chasse lui permet de se déplacer sur de vastes territoires et il modifie son mode de vie. A l’occasion, Homo erectus pouvait également consommer des coquillages.
En août 2011 une étude indique qu’Homo erectus faisait cuire ses aliments.
(Image de gauche : dent d’Homo erectus, Arago 27, trouvée à Tautavel)

Homo erectus

– Homo neanderthalensis
C’est le plus carnivore de toute la lignée des hominidés… Dans les régions les plus nordiques, beaucoup pensent que son alimentation est même essentiellement carnée du fait du manque de végétaux. Cela est prouvé par la proportion de C13 retrouvée sur les fossiles de deux sites : Sclayn et Marillac.
Plusieurs éléments permettent de penser qu’Homo neanderthalensis pratiquait également la pêche. En 2008 une étude complète l’alimentation de Néandertal par du poisson, du phoque, du dauphin… En 2009 on retrouve des traces de consommation de végétaux dans le tartre de dents néandertaliennes.
Sujet à débats, la pratique du cannibalisme pour survivre ou par rituel est parfois avérée, comme aussi chez les erectus de Tautavel ou d’Atapuerca.
(Image de droite : crâne et mâchoire de Néandertal à St Césaire)

Homo neandertalensis

– Homo sapiens
Cette espèce, la nôtre, est celle dont le régime alimentaire a le plus évolué dans le laps de temps le plus court. De chasseur-cueilleur nomade, nous sommes passés au stade de cultivateur-éleveur, puis d’industriels… Même si nous consommons plus ou moins la même part de viande que nos ancêtres directs, celle-ci a complètement changé de nature. L’élevage intensif d’animaux, nourris avec des aliments riches donne une viande beaucoup plus grasse que celle du Paléolithique.
La graisse est recherchée car elle est responsable du goût et de la tendreté..
La promiscuité des villages et la proximité des animaux est très probablement à la base des maladies infectieuses graves comme la tuberculose.
Une étude publiée en 2009 montre qu’Homo sapiens consommait du poisson.
(Image de gauche – Homo sapiens – Chancelade)

Homo sapiens femme
La nutrition préhistorique – Gilles delluc
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Pour Hominides.com Gilles Delluc nous présente son livre, La Nutrition préhistorique

Nous sommes sur cette terre depuis 2,5 millions d’années, depuis Homo habilis en Afrique. Nous nous sommes nourris de la chair des animaux sauvages, charognés ou chassés, et des plantes cueillies ou ramassées, en pratiquant un exercice physique intensif. Omnivores, nous sommes génétiquement programmés pour ce mode de vie.
On connaît bien les ressources animales et végétales disponibles au cours des temps préhistoriques. La fouille des gisements et l’analyse des graphismes préhistoriques fournissent de nombreux indices. Les connaissances sur le métabolisme et sur la nutrition de l’Homme ont fait des progrès remarquables. Il est donc désormais possible de fournir un essai de « paléo-physiologie ».Le lecteur pourra se faire une idée assez précise de la composition de la ration alimentaire à divers moments de notre préhistoire, expliciter certains choix, comprendre certaines pratiques.
Il y a moins de 10 000 ans, progressivement, les Hommes se sont sédentarisés et ont inventé la culture et l’élevage : la production des céréales farineuses et des animaux gras.
Cette révolution néolithique va nous conduire, à travers l’Histoire, jusqu’à la fin du siècle dernier : l’expansion industrielle nous apportera alors un surcroît de denrées alimentaires, essentiellement les sucres « rapides » de la confiserie et de la pâtisserie, les acides gras saturés de la charcuterie et de la crémerie, le sel à foison, et, bien sûr, divers toxiques comme les boissons fortes et le tabac.
Bref, nous qui, pendant le Paléolithique, soit durant 99,5 % de notre trajectoire d’hommes, avions été des consommateurs de gibier, de poisson et de plantes sauvages à fibres, assez durement acquis, nous devenons, au décours, pour les derniers 0,5% de notre évolution, des sédentaires aux habitudes bouleversées, aujourd’hui menacés par l’obésité de surcharge, le diabète de l’âge mûr, l’hypertension artérielle, les anomalies des graisses sanguines, les maladies coronaires, les accidents vasculaires cérébraux, et probablement certains cancers, qui sont devenus les maladies de notre XXIe siècle.
Car nous sommes demeurés, intrinsèquement, les mêmes. Nos besoins en nutriments sont maintenant mieux connus du fait des progrès récents de la physiologie. Nous ne pouvons pas vivre – et nous n’avons pu survivre – sans un apport minimum et équilibré en protides, lipides, glucides, électrolytes, micronutriments et eau.
Une telle étude a en outre deux conséquences notables. Certes nous devons renoncer à l’image traditionnelle d’un Homme préhistorique trouvant dans une pitance carnée une difficile subsistance, tel que l’a dessiné notre imaginaire. Mais nous pouvons sans doute tirer quelques leçons pratiques de ces observations, calculs et réflexions.
L’étude de la Préhistoire se montrerait alors d’une certaine utilité pour l’homme d’aujourd’hui et, plus encore, pour celui de demain.

Gilles Delluc
docteur en Préhistoire, département de Préhistoire du Muséum National d’Histoire Naturelle (Paris), et médecin des hôpitaux avec la collaboration de Brigitte Delluc, docteur en Préhistoire, et de Martine Roques, médecin nutritionniste.

Préface du Pr Henry de Lumley : « Gilles et Brigitte Delluc ont été les élèves et les amis du Pr André Leroi-Gourhan. Ils sont parmis les meilleurs spécialistes de l’art et de la vie des Cro-Magnons ».

1995, 224 pages, 160 x 230, 28 ill., 10 tabl., 4 graphiques, bibliographie (19 p.), broché. Code : 760
Prix public : € 22.87
N° d’édition ISBN 2-9501983-8-4 Pilote 24 édition, 4 rue de la Miséricorde, 24000 Périgueux
Tel : 05 53 08 03 23
www.perigord-livres.com

Dossier réalisé avec les contributions de Gilles et Brigitte Delluc et de leur livre La nutrition préhistorique dont on peut espérer une nouvelle édition en format de poche…

A lire également
Alimentation au Paléolithique de Gilles Delluc

2014 Des aliments cuits pour Homo erectus ?
2016 Pas d’aliment cuits à Atapuerca
2022 La cuisine au Néolithique en Grande-Bretagne

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En avant pour les vacances d'hiver

Arts et préhistoire - Une exposition au Musée de l'Homme à Paris du 16 novembre 2022 au 22 mai 2023.

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