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Les australopithèques et les paranthropes

Les australopithèques et les paranthropes
Une dizaine d’espèces qui, selon les chercheurs sont plus ou moins liées…   
Anthropologie

Australopithèques Zdenek Burian

Les Australopithèques forment un genre d’hominidés ayant vécu entre 4,2 millions et 1 million d’années. Le mot Australopithecus est formé à partir du latin australis, « du sud », et du grec ancien πίθηκος, píthēkos, « singe ». A ce jour, c’est huit espèces d’australopithèques qui ont été découvertes et qui forment le genre. Chaque espèce possédant ses caractéristiques propres
Toutes les espèces d’australopithèques sont issues du continent africain, très majoritairement à l’est et au sud. S’ils évoluaient dans une grande variété d’environnements : prairies, savane… ils se positionnaient le plus souvent autour d’un point d’eau comme un paléo-lac ou une rivière qui apporte une source permanente.  
Le premier fossile d’Australopithèque a été découvert en 1925 par l’anthropologue Raymond Dart. C’est un fossile d’ A. africanus très particulier car c’est celui d’un enfant dont on a retrouvé la face, une mandibule, quelques morceaux du crâne et … c’est exceptionnel… une partie du cerveau !

Les australopithèques et les paranthropes – Galéerie de l’évolution humaine – Londres

Les australopithèques, une mosaïque de caractéristiques

Australopithecus afarensis – La célèbre Lucy – Atelier Daynes – PIP – Eyzies – Photo Neekoo pour Hominides.com

Les australopithèques présentaient une combinaison de caractères simiesques et humains. Ils étaient semblables aux humains modernes en ce sens qu’ils avançaient redressés et bipèdes. La taille de leur cerveau les rapprochait des singes mais leurs molaires étaient plus grandes et leurs canines plus petites que celles de ces primates. Concernant leur éventuelle pilosité il est impossible actuellement d’assurer avec certitude que les australopithèques avaient une épaisse pilosité… ou pas !  

Le squelette.

Les australopithèques mesuraient environ 1,2 à 1,5 m de haut et pesaient probablement entre 30 et 50 kg (McHenry 1992). 
Les australopithèques ont des jambes plus petites et bras plus longs que les représentants du genre Homo. Comme l’indique le préhistorien Romain Pigeaud… « la forte musculature de ses jambes (à 74% contre 50% chez l’homme) et son bassin lui permettait de grimper aux arbres… » Il rajoute que son torse en forme de cylindre permettait de plus grands mouvements des omoplates, mais devait être plus gênants pour la marche.
Leur taille les éloigne du genre Homo et les rapproche de chimpanzés.

Comparaison squelettes hominidés – De Gauche à droite Pan Troglodyte (chimpanzé), Australopithecus sediba, Homo sapiens (Homme anatomiquement moderne)
Australopithecus afarensis
Squelette Australopithecus afarensis – Galerie de Paléontologie – MNHM Paris / Photo Kroko pour Hominides.com
Le crâne des australopithèques

La face dont l’os maxillaire sont positionnés hauts. A la moitié de la face il y a un élargissement  et les os zygomatiques (les pommettes) sont très marqués. Le trou occipital, sous le crâne, centré, montre la position érigée du corps favorable à la bipédie.

Australopithecus africanus NHM of London – Photo Neekoo pour Hominides.com
Crâne et mandibule Australopithecus sediba
Australopithecus sediba – NHM of London / Photo Neekoo pour Hominides.com
Crâne Australopithecus Prometheus
Crâne Australopithecus Prometheus – Little Foot
Australopithecus anamensis
Australopithecus anamensis – Crâne de face -Dale Omori, Cleveland Museum of Natural History
Le cerveau des australopithèques

La capacité crânienne des Australopithèque (soit 450 cm3 en moyenne) se positionne entre celle des chimpanzés et celle d’Homo erectus environ 600 cm3. Par rapport à sa corpulence et sa stature la taille du cerveau est proportionnée.
Le paléoanthropologue Jean Jacques Hublin écrit « L’analyse de fossiles mieux conservés a récemment permis de démontrer que l’organisation de leur cortex cérébral n’était pas fondamentalement différente de celle des chimpanzés. »

Un important dimorphisme sexuel
Couple Australopithèques – Natural History Museum – New-York – Photo Kroko pour Hominides.com

Les mâles étaient presque deux fois plus gros que les femelles, ce qui constituait une différence, ou un dimorphisme sexuel, plus important que chez les chimpanzés ou les humains modernes;  

La locomotion

Les australopithèques étaient tous bipèdes mais avaient au moins partiellement conservé l’aptitude de grimper aux arbres. Cette capacité arboricole est confirmée par une particularité : les phalanges des doigts de la main sont recourbées, de qui facilite la préhension.
Par ailleurs si les australopithèques étaient effectivement bipèdes, leurs squelette avec de petites jambes et de longs bras ne permettait pas de faire une course à vive allure. (Etude Running performance in Australopithecus afarensis, 2024)
En 1976 la paléontologue Mary Leakey a retrouvé des empreintes d’Australopithèques près de Laétoli en Tanzanie : deux individus ont marché dans des cendres avant qu’un processus de fossilisation exceptionnellement rare ne se produise.

L’alimentation
Canine Australopithecus afarensis.
Laetoli, Tanzanie, 3.5 Ma.
Galerie Evolution humaine Londres
Photo Kroko pour Hominides.com


D’après les analyses chimiques de leur ossements il est clair que les australopithèques se nourrissaient essentiellement de fruits, de végétaux, de tubercules et de racines. Mais il ne se privaient pas de consommer les restes d’un animal ou même de chasser de petits herbivores si l’occasion se présentait.
En janvier 2025 une étude isotopique sur les dent de plusiuers Australopithecus africanus de Sterkfontein montre cette espèce avait un régime alimentaire très proche des herbivores contemporains
Allant plus loin Jean-Jacques Hublin déclare que l’alimentation des Australopithèques et des Paranthopes a varié d’une espèce à l’autre, mais elle est encore essentiellement végétale .



A. gahri A. sediba A. afarensisA. barelghazi A. africanus
Fiches d’identitée des australopithèques
A africanusA. afarensisA. anamensisA. garhi
TailleEntre  1,38 (male) et 1,15Entre 1,30 et 1,60 (mâle)1,40 environ1,40 environ (femelle)
Capacité craniènne Entre 430 et 550 cm3Entre 400 et 500 cm3Entre 365 à 370 cm3450 cm3 environ
Régime alimentaireRégime omnivore Régime végétarienRégime végétarien
DatationEntre 3 et 2,5 MaEntre 3,85 et 2,95 MaEntre 4,2 et 3,8 Ma2,5 Ma
PoidsEntre 41 et 30 kgEntre 42 et 29 kg50 kg environ50 kg environ
Région Afrique du SudEthiopieKenyaEthiopie
A. prometheusA. sediba A. barelghazali 
Taille 1,35 (femelle) 1,30 ? 
Capacité crânienne Entre 430 et 550 cm3Entre 420 à 440 cm3 ? 
Régime alimentaireRégime omnivoreRégime végétarien plus écorce ? 
DatationEntre 3,69 Ma1,8 Ma 3,58 Ma 
PoidsEntre 41 et 30 kgEntre 30 et 36 kg ? 
RégionAfrique de l’EstEthiopieTchad  
Un australopithèque à l’origine de la lignée humaine ?

Sandrine Prat, paléoanthropologue au Musée de l’Homme « On a longtemps pensés que Lucy était la grand-mère de l’humanité. Mais depuis quelques années, étant donné qu’il y a beaucoup plus de restes qui ont été découverts et des nouvelles méthodes pour comprendre les relations de parenté, ce qu’on appelle les relations phylogénétiques entre les espèces. Il y a deux hypothèses qui émergent. L’une que Lucy soit notre grand-mère, c’est à dire qu’il existe un lien entre A. afarensis et le genre Homo et également les paranthropes. Et une autre hypothèse qui émerge c’est qu’en fin de compte ça serait notre grand tante et donc il n’y aurait pas de relation de parenté entre les afarensis et le genre Homo ».

Les paranthropes, dernière évolution des australopithèques

De gauche à droite : P. boisei, P. robustus, P. aethiopicus

Il existe, en Afrique, trois formes d’australopithèques en versions plus massive : crâne, cerveau sont plus conséquents. Pour de nombreux chercheurs il faut les positionner dans un groupe à part : les paranthropes… mais pour d’autres ce sont simplement des australopithèques plus robustes.
Pour différencier rapidement les deux taxons c’est le crâne des paranthropes qui est particulièrement  épais et surmonté d’une crête sagittale chez les mâles.

Paranthropus boisei
Paranthropus boisei Reconstitution Atelier Daynes – MEH Burgos / Photo Neekoo pour Hominides.com
Paranthopus boisei – Reconstitué à partir du crâne OH5 trouvé dans les Gorges d’Olduvai en Tanzanie. Galerie de paléontologie et d’Anatomie compaée. Photo kroko pour Hominides.com
P. robustusP. boiseiP. aethiopicus
Reconstruction Paranthropus boisei, Elisabeth Daynes – MEH Burgos / Photo Neekoo pour Hominides.com

Le professeur Jean-Jacques Hublin (Collège de France) explique « L’assèchement des paysages est particulièrement marqué entre 3 et 2,6 millions d’années AP. Pour s’adapter, les Australopithèques, dont le régime alimentaire était assez varié, doivent évoluer et se spécialiser dans l’exploitation des ressources qu’offrent des savanes de plus en plus ouvertes. C’est ainsi qu’on voit, en Afrique du Sud comme en Afrique de l’Est, de nouvelles formes d’Australopithèques apparaître. Ce sont les Paranthropes. On les qualifie d’« Australopithèques robustes » ou « mégadontes » en raison de la puissance de leur système masticateur. Leur denture antérieure est réduite tandis que leurs molaires et leurs prémolaires deviennent énormes. L’émail dentaire s’épaissit. Les mâchoires et les muscles qui les animent augmentent en puissance. Entre 2,7 millions et 1,2 million d’années AP, ces Paranthropes s’adaptent à la consommation de végétaux résistants qui ne représentaient qu’une partie de l’alimentation des Australopithèques plus anciens: herbes, graines et racines. Mais, alors que le nombre d’arbres diminue, une autre voie adaptative est ouverte, celle de l’augmentation de la partie carnée de l’alimentation. C’est la voie qui fut empruntée par le genre Homo. »

Paranthropus boisei – Galerie de Paléontologie et d’Anatomie Compare – Photo Kroko pour Hominides.com
Paranthropus robustus – Galerie de Paléontologie et d’Anatomie Compare – Photo Kroko pour Hominides.com
 Paranthropus robustusParanthropus boiseiParanthropus aethiopicus   
TailleEntre 1,30 et 1,60 Entre 1,24 (F) et 1,56 (M)   
Capacité craniènneEntre 500 et 550 cm3Entre 450 et 550 cm3Entre 410 et 420 cm3 
Régime alimentaire Régime végétarien  
Datation  Entre 1,8 et 1,2 MaEntre 2,3 et 1,2 MaEntre 2,7 et 2,3 Ma 
Poids 45 kg (femelle)  
70 kg (mâle)
  
RégionAfrique du sudTanzanie, en Éthiopie et au KenyaKenya 

Une manière assez simple se départager les espèces et de retrouver les origines de chacun serait la paléogénétique… Mais comme le souligne les généticiens sur des squelette aussi ancien il est actuellement impossible d’extraire des traces d’ADN.

La paléoanthropologue Antoine Balzeau (Musée de l’Homme) conclue « Terminer par les Paranthropes est logique au regard de leur chronologie puisque les derniers ont disparu il y a à peine plus d’1 million d’années. Ils sont un exemple éclatant de la grande diversité au sein des premiers humains, à travers des formes variées, dans plusieurs régions d’Afrique et sur des millions d’années« .

Les espèces d'hominidés

HOMINOÏDES HOMINIDES ANCIENS LA FAMILLE HOMO DES PERSONNALITES
Aegyptophitecus Sahelanthropus tchadensis Homo rudolfensis Homo soloensis
Proconsul Orrorin tugenensis Homo habilis Homme de Tautavel
Ugandapithecus major Homo georgicus Homme de Cro-magnon
Ouranopithecus ARDIPITHEQUES Homo ergaster Sinanthropus pekinensis
Pierolapithecus catalaunicus Ardipithecus kadabba Homo erectus Homo antecessor (Atapuerca)
Ardipithecus ramidus Homo heidelbergensis Homme Chapelle-aux-saints
Homo neanderthalensis Lagar Velho
AUSTRALOPITHEQUES Homo floresiensis Ötzi / Ötzi images exclusives
Australopithecus anamensis Homo luzonensis
Australopithecus afarensis (Lucy) Homo naledi
Australopithecus bahrelghazali (Abel) Homo sapiens
Australopithecus garhi GRANDS SINGES ACTUELS
Australopithecus sediba Gorilla Gorilla (Gorille)
Australopithecus africanus Pan troglodytes
Australopithecus prometheus Pan paniscus (Bonobo)
Pongo pygmaeus (Orang-outan)
KENYANTHROPES
Kenyanthropus platyops
PARANTHROPES
Paranthropus boisei
Paranthropus robustus
Paranthropus aethiopicus

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